"Les informations qui nous parviennent des Brésiliens lèvent les doutes: la nature des débris, la concentration de ces débris, leur présence à proximité de la zone de recherche, tout concourt à prouver que les débris de Air France 447 ont été retrouvés", a expliqué sur LCI le porte-parole de l'état-major des armées.
Invité sur RMC-Info/BFM-TV, Jean-Louis Borloo a souligné que "d'après les autorités militaires brésiliennes, il y a peu de doutes sur l'origine des débris". "On est sur la zone d'impact probable, on est dans une situation où on peut considérer que ce sont les débris de l'appareil".
"Formellement, les choses ne seront absolument certaines que lorsqu'on aura pu faire une analyse technique à bord d'un bateau, une fois qu'on aura un débris en main", mais "tout cela est extrêmement cohérent, cela semble correspondre avec cet avion", a déclaré Christophe Prazuck sur i>télé. "Il faut désormais passer à "une opération navale" et même "sous-marine" pour tenter de récupérer les boîtes noires.
"Les autorités brésiliennes ont rendu compte avoir découvert de débris en grand nombre tout près des zones de recherche de manière totalement cohérente avec les informations qu'on avait sur le vol", a rappelé le porte-parole de l'état-major. Et "cette nuit, un de nos avions a survolé ces débris et a fait des observations analogues à celles des Brésiliens".
"Il faut maintenant passer à la phase suivante, la récupération de ces débris, pour pouvoir conduire l'enquête ultérieure et la détermination de la zone probable de l'accident autour de laquelle il faudra chercher les boîtes noires", a analysé le capitaine Prazuck.
"On est en train de passer d'une opération aérienne, où il fallait couvrir l'espace le plus large possible, à une opération navale où il faut récupérer des débris dans une zone assez concentrée", a-t-il détaillé. Et "bientôt une opération sous-marine où il faut détecter sous l'eau la position des boîtes noires, avec peut-être même avec l'intervention d'un sous-marin pour aller rechercher ces boîtes noires si elles sont accessibles". AP
Invité sur RMC-Info/BFM-TV, Jean-Louis Borloo a souligné que "d'après les autorités militaires brésiliennes, il y a peu de doutes sur l'origine des débris". "On est sur la zone d'impact probable, on est dans une situation où on peut considérer que ce sont les débris de l'appareil".
"Formellement, les choses ne seront absolument certaines que lorsqu'on aura pu faire une analyse technique à bord d'un bateau, une fois qu'on aura un débris en main", mais "tout cela est extrêmement cohérent, cela semble correspondre avec cet avion", a déclaré Christophe Prazuck sur i>télé. "Il faut désormais passer à "une opération navale" et même "sous-marine" pour tenter de récupérer les boîtes noires.
"Les autorités brésiliennes ont rendu compte avoir découvert de débris en grand nombre tout près des zones de recherche de manière totalement cohérente avec les informations qu'on avait sur le vol", a rappelé le porte-parole de l'état-major. Et "cette nuit, un de nos avions a survolé ces débris et a fait des observations analogues à celles des Brésiliens".
"Il faut maintenant passer à la phase suivante, la récupération de ces débris, pour pouvoir conduire l'enquête ultérieure et la détermination de la zone probable de l'accident autour de laquelle il faudra chercher les boîtes noires", a analysé le capitaine Prazuck.
"On est en train de passer d'une opération aérienne, où il fallait couvrir l'espace le plus large possible, à une opération navale où il faut récupérer des débris dans une zone assez concentrée", a-t-il détaillé. Et "bientôt une opération sous-marine où il faut détecter sous l'eau la position des boîtes noires, avec peut-être même avec l'intervention d'un sous-marin pour aller rechercher ces boîtes noires si elles sont accessibles". AP