photo: future-agricultures.org
C’est ce mardi 4 août que s’est ouvert à Dakar l’atelier de restitution de l’étude sur le «Développement des filières agricoles et promotion des marchés» de la Conférence des ministres de l’agriculture de l’Afrique de l’ouest et du centre. Selon le coordonnateur général, Baba Dioum, les chefs d’Etat et de Gouvernement n’ont cessé de réaffirmer leur réelle volonté à insuffler l’agriculture africaine.
«L’Afrique est le seul continent exportateur net de produits alimentaires, elle recèle des potentialités économiques et en terre pour pouvoir nourrir ses populations» a-t-il indiqué. Cependant, a-t-il soutenu, «l’Afrique exporte principalement des matières premières, des produits agro-industriels sans en tirer les plus values ce qui fait qu’un ensemble de facteurs influent négativement sur la commercialisation de nos produits agricoles».
Lui embouchant la trompette le représentant du ministre sénégalais de l’Agriculture, Massata Niang, a laissé entendre que malgré la place prépondérante que l’agriculture occupe dans nos économies, elle ne parvient toujours pas à procurer au petit producteur suffisamment de revenus pour le tirer de la pauvreté et encore moins nourrir l’ensemble des populations africaines.
Cependant, il a soutenu que «le travail abattu jusque-là a permis d’identifier des axes prioritaires sur lesquels il nous faut concentrer nos efforts pour ne plus avoir à réagir de manière désordonnée». Au terme des deux de jours de l’atelier un consensus autour des actions à entreprendre va être finalisé afin d’augmenter la capacité de l’offre agricole.
«L’Afrique est le seul continent exportateur net de produits alimentaires, elle recèle des potentialités économiques et en terre pour pouvoir nourrir ses populations» a-t-il indiqué. Cependant, a-t-il soutenu, «l’Afrique exporte principalement des matières premières, des produits agro-industriels sans en tirer les plus values ce qui fait qu’un ensemble de facteurs influent négativement sur la commercialisation de nos produits agricoles».
Lui embouchant la trompette le représentant du ministre sénégalais de l’Agriculture, Massata Niang, a laissé entendre que malgré la place prépondérante que l’agriculture occupe dans nos économies, elle ne parvient toujours pas à procurer au petit producteur suffisamment de revenus pour le tirer de la pauvreté et encore moins nourrir l’ensemble des populations africaines.
Cependant, il a soutenu que «le travail abattu jusque-là a permis d’identifier des axes prioritaires sur lesquels il nous faut concentrer nos efforts pour ne plus avoir à réagir de manière désordonnée». Au terme des deux de jours de l’atelier un consensus autour des actions à entreprendre va être finalisé afin d’augmenter la capacité de l’offre agricole.