‘’Nous sommes en train de chercher à comprendre le code et à collecter des informations afin de mieux le connaitre’’, a-t-il dit, lors de la rencontre du groupe parlementaire BBY, avec le Syndicat des professionnels de l'information et de la communication du Sénégal (SYNPICS), la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS) et des patrons de presse du Sénégal.
Les professionnels de l’information et de la communication invités par le groupe parlementaire BBY ont expliqué aux députés le contenu du nouveau code de la presse et leurs attentes par rapport à la douzième législature.
Selon M. Diakhaté, au sortir de cette rencontre avec les acteurs de la presse, le groupe parlementaire va se réunir ultérieurement, afin de prendre position.''Nous allons organiser un séminaire entre députés, afin de prendre une décision’’, a-t-il ajouté.
‘’Nous considérons ce nouveau code de la presse comme un enjeu majeur. Il fait partie des lois de qualité et nous sommes convaincus de sa pertinence’’, a-t-il expliqué, assurant que ''l’un des meilleurs critères pour apprécier la démocratie d’un pays est sa liberté de presse''.
‘’Dans un pays où la presse est libre, nous sommes sûrs d'être dans un pays démocratique. Et quand nous sommes dans un pays où la justice est indépendante, nous sommes dans un Etat de droit’’, a ajouté M. Diakhaté.
Selon lui, ''la presse représente un pilier essentiel de principe démocratique. Ce nouveau code de la presse est un code consolidant l’Etat démocratique du Sénégal''.
‘’Nous sommes des députés nouvellement élus et beaucoup d’entre nous n’étaient pas là lors de l’élaboration du code. Mais c’est nous qui devons le voter’’, a-t-il dit, rappelant qu’avant cela, les députés ont l’obligation de comprendre son contenu et l’attente des acteurs de la presse avant de le voter.
Les acteurs de la presse, qui ont pris à la rencontre, ont tous plaidé pour l’adoption du nouveau code de la presse, assurant que sa validation va résoudre les problèmes que connaît le milieu.
‘’Nous attendons de vous l’adoption de ce code et nous souhaitons vous convaincre de la pertinence du code et vous assurer qu’une fois ce texte adopté, les choses vont changer’’, a déclaré Aly Fall du SYNPICS.
‘’Ce texte qui nous réunit aujourd'hui réglemente la profession de journaliste. Ne sera plus journaliste et patron de presse qui veut. Et cela suffit déjà pour rassurer beaucoup de Sénégalais’’, a-t-il ajouté, déplorant la perméabilité de la profession qui doit être revue.
Source: APS
Les professionnels de l’information et de la communication invités par le groupe parlementaire BBY ont expliqué aux députés le contenu du nouveau code de la presse et leurs attentes par rapport à la douzième législature.
Selon M. Diakhaté, au sortir de cette rencontre avec les acteurs de la presse, le groupe parlementaire va se réunir ultérieurement, afin de prendre position.''Nous allons organiser un séminaire entre députés, afin de prendre une décision’’, a-t-il ajouté.
‘’Nous considérons ce nouveau code de la presse comme un enjeu majeur. Il fait partie des lois de qualité et nous sommes convaincus de sa pertinence’’, a-t-il expliqué, assurant que ''l’un des meilleurs critères pour apprécier la démocratie d’un pays est sa liberté de presse''.
‘’Dans un pays où la presse est libre, nous sommes sûrs d'être dans un pays démocratique. Et quand nous sommes dans un pays où la justice est indépendante, nous sommes dans un Etat de droit’’, a ajouté M. Diakhaté.
Selon lui, ''la presse représente un pilier essentiel de principe démocratique. Ce nouveau code de la presse est un code consolidant l’Etat démocratique du Sénégal''.
‘’Nous sommes des députés nouvellement élus et beaucoup d’entre nous n’étaient pas là lors de l’élaboration du code. Mais c’est nous qui devons le voter’’, a-t-il dit, rappelant qu’avant cela, les députés ont l’obligation de comprendre son contenu et l’attente des acteurs de la presse avant de le voter.
Les acteurs de la presse, qui ont pris à la rencontre, ont tous plaidé pour l’adoption du nouveau code de la presse, assurant que sa validation va résoudre les problèmes que connaît le milieu.
‘’Nous attendons de vous l’adoption de ce code et nous souhaitons vous convaincre de la pertinence du code et vous assurer qu’une fois ce texte adopté, les choses vont changer’’, a déclaré Aly Fall du SYNPICS.
‘’Ce texte qui nous réunit aujourd'hui réglemente la profession de journaliste. Ne sera plus journaliste et patron de presse qui veut. Et cela suffit déjà pour rassurer beaucoup de Sénégalais’’, a-t-il ajouté, déplorant la perméabilité de la profession qui doit être revue.
Source: APS
Autres articles
-
Bourse de Fact-Checking Dakar 2024 : Fana Cissé de PressAfrik parmi les 5 journalistes sélectionnés par Africa Check
-
Rencontre avec Alioune Sall : la CAP compte d’abord valider les conclusions des Assises des médias
-
“Je m’appelle Absa Hane, et j’ai été lâchement et sauvagement agressée par des policiers…” (Par Absa HANE)
-
Activités médiatiques en période de précampagnes : le CNRA rappelle et menace
-
[🔴]Le journal des JT du 07 août 2023 présenté par Aminata Bane