Les députés ont été convoqués en séance plénière, ce vendredi, à l'Assemblée nationale, pour l’examen du projet de loi d’orientation relatif à l’économie sociale et solidaire. Le projet de loi défendu par le ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale, Zahra Iyane Thiam a été voté à l’unanimité par les parlementaires.
Prenant la parole Madame le ministre a indiqué que dans le cadre de la transformation structurelle de l’économie, le Plan Sénégal émergent (PSE) s’est beaucoup appuyé sur le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui constitue un important levier d’inclusion sociale et de création d’emploi.
« La forte implication de ce secteur a ainsi permis au Sénégal d’amorcer, depuis 2015, une phase de forte croissance, qu’il convient de maintenir et de consolider. Toutefois, afin de permettre à l’Économie Sociale et solidaire de mieux jouer son rôle, les contraintes identifiées, notamment l’absence de cadre juridique, doivent être levées », a-t-elle noté.
Concluant sur les motifs du présent projet de loi, le Ministre informera que « ce dernier introduit les innovations majeures comme la définition des termes en usage dans le secteur de l’E.S.S, l’identification de la typologie des acteurs et parties prenantes de l’E.S.S, la création de mesures discales et douanières au profit des acteurs de l’E.S.S, l’encadrement de l’économie populaires, de la responsabilité sociale d’entreprise (RSE), la création d’un Conseil national de l’E.S.S entre autre ».
Prenant la parole Madame le ministre a indiqué que dans le cadre de la transformation structurelle de l’économie, le Plan Sénégal émergent (PSE) s’est beaucoup appuyé sur le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui constitue un important levier d’inclusion sociale et de création d’emploi.
« La forte implication de ce secteur a ainsi permis au Sénégal d’amorcer, depuis 2015, une phase de forte croissance, qu’il convient de maintenir et de consolider. Toutefois, afin de permettre à l’Économie Sociale et solidaire de mieux jouer son rôle, les contraintes identifiées, notamment l’absence de cadre juridique, doivent être levées », a-t-elle noté.
Concluant sur les motifs du présent projet de loi, le Ministre informera que « ce dernier introduit les innovations majeures comme la définition des termes en usage dans le secteur de l’E.S.S, l’identification de la typologie des acteurs et parties prenantes de l’E.S.S, la création de mesures discales et douanières au profit des acteurs de l’E.S.S, l’encadrement de l’économie populaires, de la responsabilité sociale d’entreprise (RSE), la création d’un Conseil national de l’E.S.S entre autre ».