L’Association pour le Soutien et la Réinsertion des Détenus (ASRED) à travers un communiqué parvenu à PressAfrik, informe que les détenus qui étaient en grève de la faim au camp pénal (Liberté 6) « ont décidé de surseoir à leur diète. « Tous les détenus isolés ont rejoint sur autorisation de l'autorité leurs chambres respectives », note le document.
Selon le Président de l'ASRED, Ibrahima Fall, ces détenus « exigent un meilleur traitement et une diligence dans leurs dossiers », afin qu'ils soient jugés le plus rapidement d'autant que « certains ont vu leurs dossiers se perdre dans les tiroirs des instances judiciaires ».
Concernant les conditions de détention, les détenus dénoncent le fait qu’ils purgent de très longues peines et leurs familles sont très fatiguées. Certains n'ont même plus de visite.
Cependant, « ils disent accepter leur sort et demandent uniquement le respect de certains agents à leur égard. Ils déclarent qu’ils n'accepteront « aucune forme de maltraitance de quelque nature que ce soit », vue que l'Etat les oublie dans son volet réinsertion sociale ».
Les prisonniers du Camp pénal, toujours selon l’ASRED, estiment être « sans espoir après leur libération du fait de la stigmatisation dont ils sont victimes ».
Selon le Président de l'ASRED, Ibrahima Fall, ces détenus « exigent un meilleur traitement et une diligence dans leurs dossiers », afin qu'ils soient jugés le plus rapidement d'autant que « certains ont vu leurs dossiers se perdre dans les tiroirs des instances judiciaires ».
Concernant les conditions de détention, les détenus dénoncent le fait qu’ils purgent de très longues peines et leurs familles sont très fatiguées. Certains n'ont même plus de visite.
Cependant, « ils disent accepter leur sort et demandent uniquement le respect de certains agents à leur égard. Ils déclarent qu’ils n'accepteront « aucune forme de maltraitance de quelque nature que ce soit », vue que l'Etat les oublie dans son volet réinsertion sociale ».
Les prisonniers du Camp pénal, toujours selon l’ASRED, estiment être « sans espoir après leur libération du fait de la stigmatisation dont ils sont victimes ».
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