Le Délégué général du Festival Mondial des Arts Nègres avait précisé que tout sera financé à 90% par l’extérieur,notre pays comme les autres de l’union africaine(six) et le Brésil devait cotiser chacun dix milliards. Aziz Sow de préciser, « on a calé donc le tout à 18 milliards, on dit à l’Etat du Sénégal : si nous avons 18 milliards, on peut organiser le festival sans les infrastructures. Si les autres viennent, c’est tant mieux, on va étendre, si les autres ne viennent pas, c’est un surplus de 8 milliards que l’Etat du Sénégal devra supporter ».
Aujourd’hui, le journal le quotidien, révèle au grand jour les difficultés financières et balaie les argumentations du Délégué général. Selon notre confrère « déjà une première enveloppe de 17 milliards avait été dégagée et mise à la disposition de la première équipe chargée d’organiser le FESMAN et dirigée par l’écrivain Alioune Badara Béye, à deux semaines du démarrage rien n’était encore au point… Une réunion de crise avait été organisée autour du Président Wade pour débloquer la situation ». La source du journal de révéler que : « Sindjèly Wade qui craignait d’essuyer le revers de sa vie était pratiquement tout en pleurs », surtout que : « le ministre des Finances avouait être dans l’impossibilité de mobiliser les ressources en cette période de fin d’année ».
Finalement « la banque islamique du Sénégal a dégagé 10 milliards et la Sgbs 5 milliards, un montage financier qui a permis de payer par exemple des vedettes comme Youssou Ndour et Akon… ».
Aujourd’hui, le journal le quotidien, révèle au grand jour les difficultés financières et balaie les argumentations du Délégué général. Selon notre confrère « déjà une première enveloppe de 17 milliards avait été dégagée et mise à la disposition de la première équipe chargée d’organiser le FESMAN et dirigée par l’écrivain Alioune Badara Béye, à deux semaines du démarrage rien n’était encore au point… Une réunion de crise avait été organisée autour du Président Wade pour débloquer la situation ». La source du journal de révéler que : « Sindjèly Wade qui craignait d’essuyer le revers de sa vie était pratiquement tout en pleurs », surtout que : « le ministre des Finances avouait être dans l’impossibilité de mobiliser les ressources en cette période de fin d’année ».
Finalement « la banque islamique du Sénégal a dégagé 10 milliards et la Sgbs 5 milliards, un montage financier qui a permis de payer par exemple des vedettes comme Youssou Ndour et Akon… ».