La coalition AAR Sénégal a fait face à la presse, ce mercredi pour se prononcer sur l’actualité politique au Sénégal, de la 3e candidature de Macky Sall, du respect des lois de la République, des arrestations des membres de l’opposition, de certains députés, entre autres questions. À cet effet, la coalition AAR Sénégal n'envisage pas l'hypothèse d'un report des élections.
« BBY n’a pas respecté la loi et ne doit pas faire partie de ces élections. La réalité est que YAW n’a pas respecté la loi, elle ne doit pas non plus participer aux élections. Alors ce que nous devons tous combattre, est BBY qui a commis une faute et sa liste a été validée pour participer aux élections. Parlant de la société civile, ce que je ne peux pas comprendre, c’est la position de la société civile et celui qui se dit républicain, ne doit pas le comprendre. Ce qui nous lie, c’est le respect des lois Républicaines. Quand tu dis que tu veux chercher la stabilité du pays, ou de la paix sociale, c’est de respecter les lois du pays. C’est sur la vérité que l’on peut construire une nation et non sur le mensonge. S'il plait au bon Dieu, les élections auront lieu et AAR Sénégal ira avec ses listes. Car il le mérite », a affirmé Président du Parti Awalé.
Poursuivant ses propos, l’expert en échanges commerciaux internationaux a répondu aux critiques de l'autre partie de l'opposition qui taxe leur coalition de travailler pour Macky et son régime
« Le Sénégal est en mouvement. Qu’est-ce qui est dû à cela, c’est le manque de démocratie. Certains gens disent que AAR Sénégal, c’est l’opposition de l’opposition. Des gens disent que ARR Sénégal, c’est AAR Macky. Thierno Bokoum et moi Abdrahmane Diouf, pour vous dire, c’est depuis le 11 septembre 2013 que nous avons quitté Benno Bokk Yakaar (BBY) et faire face au Président Macky Sall, cela fait 9 ans. Nous avons une légitimité de l’opposition. Ce n’est pas une légitimité usurpée, feinte, nous l’avons combattu. Les seuls combats que nous pouvons mener avec l’opposition, c’est le combat de la 3e mandature de Macky Sall et le respect des lois de la République. Quand nous avons dit cela, on nous a taxés de faire de l’opposition dans l’opposition. Notre vision de la politique ne nous permet pas de soutenir des opposants qui ne sont pas pour la vérité. Si le pouvoir ne respecte pas les règles du jeu, on le dit haut et fort et si l’opposition le fait on ferme les yeux, personne ne doit pas le dénoncer. Pour moi ça, c’est de l’hypocrisie », a déclaré El Hadji Abdourahmane Diouf Docteur en Droit International Économique.
Pour Thierno Bocoum, « ce qui se passe, c’est le projet du 3e mandat qui est en cours. Et pour faire passer cela, c’est le bâton du droit et le bâton des forces de défense et de sécurité. Le Conseil constitutionnel qui doit juger en dernier ressort a fini de montrer de quel côté il se range. Cela montre que nous ne sommes pas sortis de l’auberge et nous sommes dans l’éternel recommencement. Ce qui est dommage. Une liste qui a des problèmes, la conséquence immédiate, c’est l’irrecevabilité. Qu’est-ce que le Conseil constitutionnel a fait, c’est de diviser les listes en suppléants et titulaires. Ce que nous avons dénoncé est que si une liste a un problème, il n'y a pas de suppléant ou de titulaire, c’est toute la liste qui doit être irrecevable. Ce que nous devons faire, c’est d’aller convaincre la population à voter massivement pour bouter le régime en place du pouvoir ».
« BBY n’a pas respecté la loi et ne doit pas faire partie de ces élections. La réalité est que YAW n’a pas respecté la loi, elle ne doit pas non plus participer aux élections. Alors ce que nous devons tous combattre, est BBY qui a commis une faute et sa liste a été validée pour participer aux élections. Parlant de la société civile, ce que je ne peux pas comprendre, c’est la position de la société civile et celui qui se dit républicain, ne doit pas le comprendre. Ce qui nous lie, c’est le respect des lois Républicaines. Quand tu dis que tu veux chercher la stabilité du pays, ou de la paix sociale, c’est de respecter les lois du pays. C’est sur la vérité que l’on peut construire une nation et non sur le mensonge. S'il plait au bon Dieu, les élections auront lieu et AAR Sénégal ira avec ses listes. Car il le mérite », a affirmé Président du Parti Awalé.
Poursuivant ses propos, l’expert en échanges commerciaux internationaux a répondu aux critiques de l'autre partie de l'opposition qui taxe leur coalition de travailler pour Macky et son régime
« Le Sénégal est en mouvement. Qu’est-ce qui est dû à cela, c’est le manque de démocratie. Certains gens disent que AAR Sénégal, c’est l’opposition de l’opposition. Des gens disent que ARR Sénégal, c’est AAR Macky. Thierno Bokoum et moi Abdrahmane Diouf, pour vous dire, c’est depuis le 11 septembre 2013 que nous avons quitté Benno Bokk Yakaar (BBY) et faire face au Président Macky Sall, cela fait 9 ans. Nous avons une légitimité de l’opposition. Ce n’est pas une légitimité usurpée, feinte, nous l’avons combattu. Les seuls combats que nous pouvons mener avec l’opposition, c’est le combat de la 3e mandature de Macky Sall et le respect des lois de la République. Quand nous avons dit cela, on nous a taxés de faire de l’opposition dans l’opposition. Notre vision de la politique ne nous permet pas de soutenir des opposants qui ne sont pas pour la vérité. Si le pouvoir ne respecte pas les règles du jeu, on le dit haut et fort et si l’opposition le fait on ferme les yeux, personne ne doit pas le dénoncer. Pour moi ça, c’est de l’hypocrisie », a déclaré El Hadji Abdourahmane Diouf Docteur en Droit International Économique.
Pour Thierno Bocoum, « ce qui se passe, c’est le projet du 3e mandat qui est en cours. Et pour faire passer cela, c’est le bâton du droit et le bâton des forces de défense et de sécurité. Le Conseil constitutionnel qui doit juger en dernier ressort a fini de montrer de quel côté il se range. Cela montre que nous ne sommes pas sortis de l’auberge et nous sommes dans l’éternel recommencement. Ce qui est dommage. Une liste qui a des problèmes, la conséquence immédiate, c’est l’irrecevabilité. Qu’est-ce que le Conseil constitutionnel a fait, c’est de diviser les listes en suppléants et titulaires. Ce que nous avons dénoncé est que si une liste a un problème, il n'y a pas de suppléant ou de titulaire, c’est toute la liste qui doit être irrecevable. Ce que nous devons faire, c’est d’aller convaincre la population à voter massivement pour bouter le régime en place du pouvoir ».