Furieux et désespérés. Tels s sont les qualificatifs qui caractérisent les étudiants du département Espagnol de la Faculté des lettres et sciences humaines. En effet, ces étudiants qui ont obtenu leur licence, ne sont toujours pas orientés en Master 1. Ce qu’ils ne veulent pas laisser perdurer. Ce mercredi, ils ont tout simplement barré l'avenue Cheikh Anta Diop et affronté les éléments du Groupement mobile d’intervention (GMI).
« On est en mouvement depuis deux semaines parce qu’on nous a pas sélectionnés pour le master 1. On a rempli les conditions du système LMD (Licence Master Doctorat), qui dit que tout étudiant ayant obtenu la Licence à 3 ou 4 ans est sélectionnable en Master 1. Nous, on a fait 4 ans et on a obtenu notre Licence avec des mentions : Assez-bien, Bien et Très bien. Nous voulons être sélectionnés en Master 1 parce que, ce que nous réclamons est un Master de droit et non un Master pour tous », a indiqué Pape Ousmane Diop, porte-parole des étudiants du département Espagnol.
Il ajoute : «Au moment où nous parlons, les étudiants ont bloqué le système, il n’y a pas de cours dans les amphis du Fac lettre et nous comptons faire cela jusqu’à ce que l’on obtienne gain de cause. » A-t-il prévenu.
"Notre major de promotion n'a même pas été sélectionné pour le Master"
Les étudiants grévistes accusent le chef de département de la Session espagnole, El Hadj Thiam comme responsable de leur malheur : « C’est le chef de département de la session espagnole, El Hadj Omar Thiam, qui refuse de nous sélectionner parce que les professeurs avaient négocié avec lui pour nous accepter dans les amphis mais, il a dit niet. Dans les autres sessions, on a sélectionné les étudiants qui ont fait 4 ans, 5 ans. Nous sommes les seuls être laissés en rade », se désole le porte-parole du jour.
Ces étudiants ne comptent arrêter leur mouvement que lorsque leurs revendications seront prises en compte : « Ils nous ont promis de régler le problème après des négociations, mais jusqu’à présent rien n’est encore fait. On est prêt à mourir ici plutôt que de rester sans étudier. Le major de notre promotion fait partie de la grève parce qu’il n’a pas été sélectionné. Tant que nous ne sommes pas sélectionnés, il n’y aura pas d’études dans la Faculté des lettres et sciences humaines », ont-ils menacé
« On est en mouvement depuis deux semaines parce qu’on nous a pas sélectionnés pour le master 1. On a rempli les conditions du système LMD (Licence Master Doctorat), qui dit que tout étudiant ayant obtenu la Licence à 3 ou 4 ans est sélectionnable en Master 1. Nous, on a fait 4 ans et on a obtenu notre Licence avec des mentions : Assez-bien, Bien et Très bien. Nous voulons être sélectionnés en Master 1 parce que, ce que nous réclamons est un Master de droit et non un Master pour tous », a indiqué Pape Ousmane Diop, porte-parole des étudiants du département Espagnol.
Il ajoute : «Au moment où nous parlons, les étudiants ont bloqué le système, il n’y a pas de cours dans les amphis du Fac lettre et nous comptons faire cela jusqu’à ce que l’on obtienne gain de cause. » A-t-il prévenu.
"Notre major de promotion n'a même pas été sélectionné pour le Master"
Les étudiants grévistes accusent le chef de département de la Session espagnole, El Hadj Thiam comme responsable de leur malheur : « C’est le chef de département de la session espagnole, El Hadj Omar Thiam, qui refuse de nous sélectionner parce que les professeurs avaient négocié avec lui pour nous accepter dans les amphis mais, il a dit niet. Dans les autres sessions, on a sélectionné les étudiants qui ont fait 4 ans, 5 ans. Nous sommes les seuls être laissés en rade », se désole le porte-parole du jour.
Ces étudiants ne comptent arrêter leur mouvement que lorsque leurs revendications seront prises en compte : « Ils nous ont promis de régler le problème après des négociations, mais jusqu’à présent rien n’est encore fait. On est prêt à mourir ici plutôt que de rester sans étudier. Le major de notre promotion fait partie de la grève parce qu’il n’a pas été sélectionné. Tant que nous ne sommes pas sélectionnés, il n’y aura pas d’études dans la Faculté des lettres et sciences humaines », ont-ils menacé