Ils mettent de l’eau dans le vin. Après la médiation, le sit-in et autres plans d’actions, la dernière en date du 7 février dernier au niveau du building administratif. Ce, au moment où se tenait le conseil interministériel sur l’emploi des jeunes présidé par la Première ministre, Aminata Touré. Les ex-agents des agences de l’Emploi des jeunes se signalent au président de la République à travers une lettre ouverte dans laquelle, ils demandent au successeur de Wade à la Magistrature suprême, qui « est en train de restaurer les valeurs de la République à travers les nombreuses initiatives prises dans le domaine de l’emploi » d’intervenir sur leur « douloureuse situation ».
Listant cette situation dans un cahier de revendications et de proposition, le Collectif des Agents des Structures dissoutes en Charge de l’Emploi Jeunes dit CAS Emploi Jeunes part du fameux décret n°2014-25 et 2014-26 du 9 janvier 2014 portant respectivement dissolution d’agences d’exécution et création, organisation et fonctionnement de l’ANPEJ signés par Monsieur le Président de la République qui leur vaut bien du souci. A savoir, la tutelle, Benoît Sambou qui fait fi du maintien de la totalité des 227 emplois des travailleurs des structures dissoutes (FNPJ, ANEJ, AJEB et ANAMA) pour des considérations basées sur un argumentaire léger. « Nous n’avons pas de réponse pour le moment. L’ANPEJ n’aura besoin que 50 agents », leur servira le cabinet du ministre de la Jeunesse, lors d’une rencontre autour du sort du personnel en janvier dernier.
Trois mois plus tard à savoir, ce 13 mars 2014, Abdoulaye Ciss, ex-chargé de programmes FNPJ et non moins membre du Collectif CAS Emploi Jeunes et Cie, disent toujours combattre l’arbitraire dont ils font l’objet. A ce jour, dénoncent-ils, « aucun agent déflaté n’a reçu son salaire malgré la nomination et la prise de service des liquidateurs ». Pour eux, le bilan de Benoît Sambou est plus que sombre : « trois (3) emplois créés en deux (2) mois contre 227 supprimés ». Ils exigent le paiement intégral de six (6) mois de salaires bruts en plus des arriérés de salaires. L’article 8 de la Constitution est clair sur la question, ils ont droit au travail. Faute d’être tous redéployés à l’ANPEJ, ils recommandent d’insérer des agents dans la Fonction publique. Et ce, avec le maintien des avantages.
Listant cette situation dans un cahier de revendications et de proposition, le Collectif des Agents des Structures dissoutes en Charge de l’Emploi Jeunes dit CAS Emploi Jeunes part du fameux décret n°2014-25 et 2014-26 du 9 janvier 2014 portant respectivement dissolution d’agences d’exécution et création, organisation et fonctionnement de l’ANPEJ signés par Monsieur le Président de la République qui leur vaut bien du souci. A savoir, la tutelle, Benoît Sambou qui fait fi du maintien de la totalité des 227 emplois des travailleurs des structures dissoutes (FNPJ, ANEJ, AJEB et ANAMA) pour des considérations basées sur un argumentaire léger. « Nous n’avons pas de réponse pour le moment. L’ANPEJ n’aura besoin que 50 agents », leur servira le cabinet du ministre de la Jeunesse, lors d’une rencontre autour du sort du personnel en janvier dernier.
Trois mois plus tard à savoir, ce 13 mars 2014, Abdoulaye Ciss, ex-chargé de programmes FNPJ et non moins membre du Collectif CAS Emploi Jeunes et Cie, disent toujours combattre l’arbitraire dont ils font l’objet. A ce jour, dénoncent-ils, « aucun agent déflaté n’a reçu son salaire malgré la nomination et la prise de service des liquidateurs ». Pour eux, le bilan de Benoît Sambou est plus que sombre : « trois (3) emplois créés en deux (2) mois contre 227 supprimés ». Ils exigent le paiement intégral de six (6) mois de salaires bruts en plus des arriérés de salaires. L’article 8 de la Constitution est clair sur la question, ils ont droit au travail. Faute d’être tous redéployés à l’ANPEJ, ils recommandent d’insérer des agents dans la Fonction publique. Et ce, avec le maintien des avantages.