C’est la guerre dans le sud du pays entre des éléments du MFDC. Il s’agit précisément d’affrontements entre des combattants favorables à César Atoute Badiate contre des troupes d’Ousmane Niatang Diatta. Ce dernier s’est proclamé récemment chef d’état major d’Atika, l’aile combattante et Nkrumah Sané secrétaire général à la place de Jean Marie François Biagui. Des décisions contestées par le camp de César Atoute Badiate mais aussi par Jean Marie François Biagui. M. Biagui a écrit hier un communiqué comme secrétaire général du mouvement pour présenter les condoléances du mouvement suite au rappel à Dieu de Serigne Bara Mbacké.
Les combats de ces dernières heures qui se déroulent dans des villages du département de Goudomp, région de Sédhiou visent à chercher le contrôle de l’arsenal de guerre du mouvement selon le correspondant de la RFM dans la zone. César Atoute Badiate accuse par ailleurs Nkrumah Sané d’avoir remis 11 millions de Franc à Ousmane Niatang Diatta pour l’achat d’armes.
L’intensification des combats est redoutée selon notre confrère qui parle de bonnes volontés qui s’activent pour faire revenir tout le monde à la raison.
Depuis quelques temps dans le camp du mouvement rebelle comme du côté du gouvernement sénégalais, on parle de volontés d’aller à la table de négociations, des déclarations d’intension qui ne sont suivies d’aucun acte. Seulement la radicalisation est venue souvent du côté de Nkrumah Sané.
Les combats de ces dernières heures qui se déroulent dans des villages du département de Goudomp, région de Sédhiou visent à chercher le contrôle de l’arsenal de guerre du mouvement selon le correspondant de la RFM dans la zone. César Atoute Badiate accuse par ailleurs Nkrumah Sané d’avoir remis 11 millions de Franc à Ousmane Niatang Diatta pour l’achat d’armes.
L’intensification des combats est redoutée selon notre confrère qui parle de bonnes volontés qui s’activent pour faire revenir tout le monde à la raison.
Depuis quelques temps dans le camp du mouvement rebelle comme du côté du gouvernement sénégalais, on parle de volontés d’aller à la table de négociations, des déclarations d’intension qui ne sont suivies d’aucun acte. Seulement la radicalisation est venue souvent du côté de Nkrumah Sané.