Que l’autorité du Sénégal se le tienne pour dit. Les jeunes de la coalition Bennoo Siggil Senegaal n’attendront plus d’autorisation venant d'elle quand ils sentiront la nécessité de protester dans la rue.
«Nous voulons lui faire comprendre désormais qu’avec ou sans autorisation, à chaque fois qu’on aura senti la nécessité ou le besoin d’être dans la rue pour protester, nous le ferons», a fait savoir hier, en conférence de presse le président de la commission communication des jeunes de Bennoo.
«Je crois que, désormais, le ton est donné. Les autorités n’ont qu’à prendre leurs responsabilités. Nous ne nous laisserons pas faire», a encore ajouté Abdou Ndiaye.
Le jeune leader a expliqué au cours de la conférence de presse que les jeunes de Bennoo en avaient marre de se voir interdire des marches pour des raisons fallacieuses. «Nous avons un Etat qui est habitué à procéder par des mensonges, par des subterfuges pour interdire les marches de Bennoo», a tonné le président des jeunes du FSD/BJ.
Pour étayer ses propos, le jeune politicien n’a pas manqué d’exemple. «Pour exemple, l’autorité a refusé notre dernière marche sous prétexte qu’elle n’a pas les moyens de la sécuriser. Or, on avait constaté des policiers un peu partout dans Dakar», conteste-t-il avant d’ajouter : «Je crois que la moitié de ces policiers pouvaient assurer la sécurité de Bennoo».
«Nous voulons lui faire comprendre désormais qu’avec ou sans autorisation, à chaque fois qu’on aura senti la nécessité ou le besoin d’être dans la rue pour protester, nous le ferons», a fait savoir hier, en conférence de presse le président de la commission communication des jeunes de Bennoo.
«Je crois que, désormais, le ton est donné. Les autorités n’ont qu’à prendre leurs responsabilités. Nous ne nous laisserons pas faire», a encore ajouté Abdou Ndiaye.
Le jeune leader a expliqué au cours de la conférence de presse que les jeunes de Bennoo en avaient marre de se voir interdire des marches pour des raisons fallacieuses. «Nous avons un Etat qui est habitué à procéder par des mensonges, par des subterfuges pour interdire les marches de Bennoo», a tonné le président des jeunes du FSD/BJ.
Pour étayer ses propos, le jeune politicien n’a pas manqué d’exemple. «Pour exemple, l’autorité a refusé notre dernière marche sous prétexte qu’elle n’a pas les moyens de la sécuriser. Or, on avait constaté des policiers un peu partout dans Dakar», conteste-t-il avant d’ajouter : «Je crois que la moitié de ces policiers pouvaient assurer la sécurité de Bennoo».