Le leader du collectif des imams et des résidents de Guédiawaye qui a récemment claqué la porte du Comité de restructuration du secteur de l’énergie créé par le ministre de l’Energie, Karim Wade n’est plus habilité à parler au nom des populations. Il a été disqualifié par les jeunes de la banlieue, regroupés au sein de la Convergence Action Citoyenne, l’Association des jeunes de Minam, du Collectif des Jeunes Cadres de Guédiawaye, de l’Amicale Saint Kisito et And Sukali Gounass, section départementale du Forum Civil de Guédiawaye et qui ont fait face à la presse ce mercredi 29 décembre 2010 dans les locaux du Forum Civil.
Selon le Coordonnateur de l’Initiative pour le Sécurité et l’Emergence de Guédiawaye (ISEG), Adama Sadio dans la société africaine particulièrement dans celle sénégalaise quand il y a un problème dans le quartier, le premier à qui on pense c’est au chef de quartier ou à l’imam parce qu’il était l’incarnation. Mais si, aujourd’hui, ce même imam là, ce même chef de quartier au lieu d’être l’incarnation de ces valeurs ne fait que la promotion des contre valeurs il y a de quoi s’inquiéter pour notre Sénégal. Pour Adama Sadio, si aujourd’hui Imam Sarr ne bénéficie plus du respect qu’il bénéficiait d’alors c’est parce que tout simplement il a failli et aujourd’hui malheureusement le combat ce n’est plus lui. Ce sont les jeunes de Fith Mith, PAI, Thiaroye, c’est nous.
Le coordonnateur de l’ISEG de préciser toutefois: «il n’a pas démissionné parce qu’il l’a voulu mais parce qu’on l’a amené à démissionner. Et ceux qui l’on poussé à la démission ce sont ces jeunes de Guédiawaye, de Fith Mith, de Thiaroye, de PAI qui ont exigé sa démission». Mr Sadio d’ajouter: «à l’époque, il était avec nous et nous avec lui mais à un moment donné il a choisi d’autres camps et nous a laissé là et nous nous continuons le combat». Néanmoins, dit-il, nous appelons tous ces autres imams, chefs de quartier, notables qui sont encore soucieux du bien être des populations de venir se joindre à nous parce que le combat va être mené.
Selon le Coordonnateur de l’Initiative pour le Sécurité et l’Emergence de Guédiawaye (ISEG), Adama Sadio dans la société africaine particulièrement dans celle sénégalaise quand il y a un problème dans le quartier, le premier à qui on pense c’est au chef de quartier ou à l’imam parce qu’il était l’incarnation. Mais si, aujourd’hui, ce même imam là, ce même chef de quartier au lieu d’être l’incarnation de ces valeurs ne fait que la promotion des contre valeurs il y a de quoi s’inquiéter pour notre Sénégal. Pour Adama Sadio, si aujourd’hui Imam Sarr ne bénéficie plus du respect qu’il bénéficiait d’alors c’est parce que tout simplement il a failli et aujourd’hui malheureusement le combat ce n’est plus lui. Ce sont les jeunes de Fith Mith, PAI, Thiaroye, c’est nous.
Le coordonnateur de l’ISEG de préciser toutefois: «il n’a pas démissionné parce qu’il l’a voulu mais parce qu’on l’a amené à démissionner. Et ceux qui l’on poussé à la démission ce sont ces jeunes de Guédiawaye, de Fith Mith, de Thiaroye, de PAI qui ont exigé sa démission». Mr Sadio d’ajouter: «à l’époque, il était avec nous et nous avec lui mais à un moment donné il a choisi d’autres camps et nous a laissé là et nous nous continuons le combat». Néanmoins, dit-il, nous appelons tous ces autres imams, chefs de quartier, notables qui sont encore soucieux du bien être des populations de venir se joindre à nous parce que le combat va être mené.