«Nous organisons une marche dans le but de poursuivre le plan d’action qu’on a établi. Nous marchons uniquement pour dénoncer les dérives du régime en place. L’utilisation de la justice de l’Assemblée et du Conseil constitutionnel pour les empêcher d’être candidats mais aussi de battre campagne », a déclaré Mor Diaw, qui revenait sur les motivations de la marche qu’ils organisent ce mercredi, à Guédiawaye.
Sur sa lancée, ce membre du Grand parti (Gp) explique qu’ils ne reconnaissent pas Macky Sall en tant que candidat et par conséquent, déploieront tous les moyens afin de l’empêcher de battre campagne.
A l’en croire, le Président sortant, par ailleurs candidat à sa propre succession, a fini d’instrumentaliser les institutions pour que ses adversaires ne puissent pas se présenter à ce scrutin. C’est dans ce sens que les candidatures de Karim Wade et Khalifa Sall ont été invalidées via le Conseil Constitutionnel. Quant à l’Assemblée nationale, elle a servi à lever l’immunité de Khalifa Sall et à avaliser la loi sur le parrainage.
Toujours dans le volet de leur plan d’action, pour faire face au candidat de Benno bokk yakaar, M. Diaw informe qu’ils veulent «rétablir le rapport de force sur le terrain ». Avant de marteler : «nous avons compris que la personne que nous avons en face de nous n’est pas dans une logique de non-violence, mais plutôt dans une logique de combat. Nous allons répondre par cette mesure, mais nous appelons à la non-violence et si elle n’est pas respectée par l’autre camp, advienne que pourra.»
Sur sa lancée, ce membre du Grand parti (Gp) explique qu’ils ne reconnaissent pas Macky Sall en tant que candidat et par conséquent, déploieront tous les moyens afin de l’empêcher de battre campagne.
A l’en croire, le Président sortant, par ailleurs candidat à sa propre succession, a fini d’instrumentaliser les institutions pour que ses adversaires ne puissent pas se présenter à ce scrutin. C’est dans ce sens que les candidatures de Karim Wade et Khalifa Sall ont été invalidées via le Conseil Constitutionnel. Quant à l’Assemblée nationale, elle a servi à lever l’immunité de Khalifa Sall et à avaliser la loi sur le parrainage.
Toujours dans le volet de leur plan d’action, pour faire face au candidat de Benno bokk yakaar, M. Diaw informe qu’ils veulent «rétablir le rapport de force sur le terrain ». Avant de marteler : «nous avons compris que la personne que nous avons en face de nous n’est pas dans une logique de non-violence, mais plutôt dans une logique de combat. Nous allons répondre par cette mesure, mais nous appelons à la non-violence et si elle n’est pas respectée par l’autre camp, advienne que pourra.»