Lors d’une journée de réflexion organisée ce samedi 1er mai au Centre d’Etude des Sciences et Technique de l’Information (CESTI) par le Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS) à l’occasion de la fête du travail, l'inspecteur du travail, Babacar Diakhaté a invité les journalistes à amener leurs organisations patronales à encourager la négociation collective.
Parce que, selon lui, il est du rôle des syndicats pas seulement des syndicats de travailleurs mais des syndicats d’employeurs de mettre en œuvre, d’initier, d’impulser la négociation collective. C’est cette dernière qui fait naitre les conventions collectives qui régissent les journalistes.
M. Babacar Diakhaté est d’avis qu’une «convention collective va mieux être adaptée aux conditions spécifiques de chaque secteur d’activité, de chaque profession parce qu’il est évident que ce sont les acteurs (employeurs et travailleurs) qui connaissent mieux leurs professions que l’Etat» a-t-il soutenu avant d’ajouter: «si on n’a pas une convention collective c’est l’Etat qui va régir la profession. Elle doit être promue, substituée à la loi, aux règlements pour régir les conditions de travail de chaque profession. C’est le souhait de l’Organisation Internationale du Travail à travers la convention 97 qui veut promouvoir la négociation collective et la protection du droit de la négociation collective».
Il a, en outre, reconnu que «le journalisme est l’une des rares professions où la négociation collective est plutôt vivante puisque vous avez une convention collective récente ce qui n’est pas le cas de la plupart des secteurs d’activités dans notre pays». Car, pour lui, la négociation collective au Sénégal est un peu en panne.
Parce que, selon lui, il est du rôle des syndicats pas seulement des syndicats de travailleurs mais des syndicats d’employeurs de mettre en œuvre, d’initier, d’impulser la négociation collective. C’est cette dernière qui fait naitre les conventions collectives qui régissent les journalistes.
M. Babacar Diakhaté est d’avis qu’une «convention collective va mieux être adaptée aux conditions spécifiques de chaque secteur d’activité, de chaque profession parce qu’il est évident que ce sont les acteurs (employeurs et travailleurs) qui connaissent mieux leurs professions que l’Etat» a-t-il soutenu avant d’ajouter: «si on n’a pas une convention collective c’est l’Etat qui va régir la profession. Elle doit être promue, substituée à la loi, aux règlements pour régir les conditions de travail de chaque profession. C’est le souhait de l’Organisation Internationale du Travail à travers la convention 97 qui veut promouvoir la négociation collective et la protection du droit de la négociation collective».
Il a, en outre, reconnu que «le journalisme est l’une des rares professions où la négociation collective est plutôt vivante puisque vous avez une convention collective récente ce qui n’est pas le cas de la plupart des secteurs d’activités dans notre pays». Car, pour lui, la négociation collective au Sénégal est un peu en panne.
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