« C’est d’ailleurs l’occasion pour nous d’apporter des clarifications sur les salaires et indemnités des magistrats médiatisés à outrance, souvent avec une méconnaissance et une propagande qui portent réellement atteinte à l’image de notre corps » a souligné El Hadji Abou Aziz Seck pour lever d’ores et déjà l’équivoque sur cette affaire.
Pour rappel, c’est le 13 décembre dernier que la presse a commenté l’information révélée par le journal « Le Quotidien » et relative à l’octroi d’une indemnité mensuelle de 2,4 millions Fcfa aux 30 inspecteurs généraux d’Etat en service et celle de 5 millions à la vérificatrice générale d’Etat, au Premier Président de la Cour Suprême, au Procureur Général près de ladite Cour, au Président de la Cour des Comptes, au Commissaire du droit près de ladite Cour et au Président du Conseil Constitutionnel.
Pour l’UMS, il ne s’agit pas là de tous les magistrats. Et ils (magistrats sénégalais) ne sont pas contre cet octroi. « Nous considérons que les Chefs du Pouvoir judiciaire méritent ces salaires, eu égard à leurs hautes responsabilités », ajoute El Hadji Abou Aziz Seck.
En reconnaissant l’augmentation, ces dernières années, de leur niveau de rémunération, le président de l’UMS martèle que cela est encore insuffisant par rapport à la hauteur de leur responsabilité. « Même si nous nous félicitons de l’augmentation ces dernières années de notre niveau de salaire, nous estimons que les magistrats perçoivent des salaires qui ne sont pas encore à la hauteur de leur responsabilité, en raison d’un système d’imposition dévastateur et de l’absence de tout autre avantage matériel » a-t-il laissé clairement entendre.
Pour rappel, c’est le 13 décembre dernier que la presse a commenté l’information révélée par le journal « Le Quotidien » et relative à l’octroi d’une indemnité mensuelle de 2,4 millions Fcfa aux 30 inspecteurs généraux d’Etat en service et celle de 5 millions à la vérificatrice générale d’Etat, au Premier Président de la Cour Suprême, au Procureur Général près de ladite Cour, au Président de la Cour des Comptes, au Commissaire du droit près de ladite Cour et au Président du Conseil Constitutionnel.
Pour l’UMS, il ne s’agit pas là de tous les magistrats. Et ils (magistrats sénégalais) ne sont pas contre cet octroi. « Nous considérons que les Chefs du Pouvoir judiciaire méritent ces salaires, eu égard à leurs hautes responsabilités », ajoute El Hadji Abou Aziz Seck.
En reconnaissant l’augmentation, ces dernières années, de leur niveau de rémunération, le président de l’UMS martèle que cela est encore insuffisant par rapport à la hauteur de leur responsabilité. « Même si nous nous félicitons de l’augmentation ces dernières années de notre niveau de salaire, nous estimons que les magistrats perçoivent des salaires qui ne sont pas encore à la hauteur de leur responsabilité, en raison d’un système d’imposition dévastateur et de l’absence de tout autre avantage matériel » a-t-il laissé clairement entendre.
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