Organisations paysannes, agriculteurs, bailleurs de fonds, représentants de directoire de campagne des différents candidats à la présidentielle et journalistes ont pris part à ce forum, pour plus de considération à l’agriculture et des solutions à la question foncière. Une plaidoirie qui interpelle « ceux qui ont la prétention de nous diriger », précise le président du CONGAD, Momar Talla Kane.
Un projet en vue de l’élection présidentielle de 2012 accentué par les souteneurs nationaux et internationaux de ces organisations paysannes. « Changer les grandes sociétés et la politique agricole », plaide la Fondation allemande ROSA Luxembourg qui soutient les mouvements sociaux et les organisations civiles. Pour éclairer les responsables politiques, un soutien financier et technique est apporté à l’IPAR par la Commission chargée de la Réforme du Droit de la Terre (CRDT).
Le président du CNCR, Samba Guèye promet de relever les défis face aux innombrables crises auxquelles sont confrontées l’agriculture et le foncier, du fait de la ruée des hommes détenteurs de capitaux vers les terres, d’où la naissance de conflits. « Fanaye en est la parfaite illustration », exemplifie-t-il. A cet effet, une campagne médiatique est prévue en vue des élections présidentielle et législatives, afin de replacer l’agriculture et le foncier au cœur du débat économique et politique, mais surtout de défendre les droits fonciers ruraux.
Par ailleurs, des exposés sur la question ont également rythmé le premier jour de ce forum national sur les enjeux du développement agricole et rural. En ce sens, un procédé à une périodisation des politiques agricoles de 1957 à 2012 est observé, avec la révision des gestions de ce secteur du temps de Mamadou Dia à Abdoulaye Wade, en passant par Senghor et Abdou Diouf. Les questions de l’emploi des jeunes, d’insuffisance d’allocution budgétaire à l’agriculture, les difficultés de l’élevage, de l’urbanisation, de la pêche, de l’horticulture et de la mauvaise campagne 2011-2012 du secteur ARACHIDE-RIZ sont entre autres les problèmes soulignés, et sur lesquels ces organisations paysannes envisagent d’interpeller avec rigueur, ceux qui convoitent la magistrature suprême.
Un projet en vue de l’élection présidentielle de 2012 accentué par les souteneurs nationaux et internationaux de ces organisations paysannes. « Changer les grandes sociétés et la politique agricole », plaide la Fondation allemande ROSA Luxembourg qui soutient les mouvements sociaux et les organisations civiles. Pour éclairer les responsables politiques, un soutien financier et technique est apporté à l’IPAR par la Commission chargée de la Réforme du Droit de la Terre (CRDT).
Le président du CNCR, Samba Guèye promet de relever les défis face aux innombrables crises auxquelles sont confrontées l’agriculture et le foncier, du fait de la ruée des hommes détenteurs de capitaux vers les terres, d’où la naissance de conflits. « Fanaye en est la parfaite illustration », exemplifie-t-il. A cet effet, une campagne médiatique est prévue en vue des élections présidentielle et législatives, afin de replacer l’agriculture et le foncier au cœur du débat économique et politique, mais surtout de défendre les droits fonciers ruraux.
Par ailleurs, des exposés sur la question ont également rythmé le premier jour de ce forum national sur les enjeux du développement agricole et rural. En ce sens, un procédé à une périodisation des politiques agricoles de 1957 à 2012 est observé, avec la révision des gestions de ce secteur du temps de Mamadou Dia à Abdoulaye Wade, en passant par Senghor et Abdou Diouf. Les questions de l’emploi des jeunes, d’insuffisance d’allocution budgétaire à l’agriculture, les difficultés de l’élevage, de l’urbanisation, de la pêche, de l’horticulture et de la mauvaise campagne 2011-2012 du secteur ARACHIDE-RIZ sont entre autres les problèmes soulignés, et sur lesquels ces organisations paysannes envisagent d’interpeller avec rigueur, ceux qui convoitent la magistrature suprême.