Selon le Dr Oumar Ndoye chargé des questions relatives au VIH/SIDA ce protocole permettra à l’APF et à l’ONU/SIDA de tout mettre en œuvre dans le cadre d’une riposte appropriée pour l’obtention d’un financement adéquat.
En effet, déclare-t-il, grâce à ce protocole l’APF sera mieux outillé pour veiller à l’information adéquate des Parlementaires afin qu’ils soient en mesure d’exercer positivement leur influence dans leurs collectivités et de mieux contrôler les dépenses publiques. Pour lui, la réponse au VIH demeure une priorité pour les Etats malgré la crise économique. Aussi, il permettra d’influer davantage sur les politiques sanitaires pour l’accès aux médicaments de qualité à un prix abordable et faire respecter les droits de la personne dans le cadre de cette lutte.
Selon la représentante du Directeur exécutif d’ONUSIDA, ce protocole d’accord va permettre d’améliorer la capacité de mobilisation des Parlementaires en mettant à leur disposition, en permanence et en temps voulu toutes les informations nécessaires sur le VIH, ses modes de transmission, la prévention et le traitement. Dans cette optique, souligne le Dr Oumar Ndoye, ce protocole est une voie pour chercher des solutions face aux problèmes spécifiques liés au VIH tel que la pénurie du personnel médical qui sévit dans les pays en voie de développement.
En effet, déclare-t-il, grâce à ce protocole l’APF sera mieux outillé pour veiller à l’information adéquate des Parlementaires afin qu’ils soient en mesure d’exercer positivement leur influence dans leurs collectivités et de mieux contrôler les dépenses publiques. Pour lui, la réponse au VIH demeure une priorité pour les Etats malgré la crise économique. Aussi, il permettra d’influer davantage sur les politiques sanitaires pour l’accès aux médicaments de qualité à un prix abordable et faire respecter les droits de la personne dans le cadre de cette lutte.
Selon la représentante du Directeur exécutif d’ONUSIDA, ce protocole d’accord va permettre d’améliorer la capacité de mobilisation des Parlementaires en mettant à leur disposition, en permanence et en temps voulu toutes les informations nécessaires sur le VIH, ses modes de transmission, la prévention et le traitement. Dans cette optique, souligne le Dr Oumar Ndoye, ce protocole est une voie pour chercher des solutions face aux problèmes spécifiques liés au VIH tel que la pénurie du personnel médical qui sévit dans les pays en voie de développement.