Dans une déclaration publiée samedi, le Comité interparlementaire de l’Union économique et monétaire ouest- africaine (UEMOA) a notamment exprimé sa préoccupation sur la situation au Mali avec l’agression contre le président intérimaire Dioncounda Traoré lors d’une dernière manifestation à Bamako.
Le Comité interparlementaire (CIP), qui a tenu sa 11ème session du 20 au 26 mai à Abidjan sur le thème « Rôle du Parlement dans le processus d’intégration », se dit « indigné » par les derniers événements au Mali où M. Traoré désigné par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour conduire la transition de 12 mois a été blessé par les partisans de la junte militaire et évacué en France pour des soins médicaux depuis jeudi.
« Le Comité interparlementaire de l’Uemoa condamne avec la plus grande fermeté la partition du territoire malien et l’utilisation de la violence pour accéder au pouvoir d’Etat », indique la déclaration signée du président Dama Dramani.
Le CIP « réaffirme son attachement au respect imprescriptible de l’intégrité territoriale et de l’unité du Mali et apporte son total soutien aux décisions de la CEDEAO visant le respect scrupuleux de la normalité constitutionnelle ».
Le CIP demande « la fin des violences dont sont victimes les populations et invite tous les acteurs à recourir au dialogue ».
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Le Comité interparlementaire (CIP), qui a tenu sa 11ème session du 20 au 26 mai à Abidjan sur le thème « Rôle du Parlement dans le processus d’intégration », se dit « indigné » par les derniers événements au Mali où M. Traoré désigné par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour conduire la transition de 12 mois a été blessé par les partisans de la junte militaire et évacué en France pour des soins médicaux depuis jeudi.
« Le Comité interparlementaire de l’Uemoa condamne avec la plus grande fermeté la partition du territoire malien et l’utilisation de la violence pour accéder au pouvoir d’Etat », indique la déclaration signée du président Dama Dramani.
Le CIP « réaffirme son attachement au respect imprescriptible de l’intégrité territoriale et de l’unité du Mali et apporte son total soutien aux décisions de la CEDEAO visant le respect scrupuleux de la normalité constitutionnelle ».
Le CIP demande « la fin des violences dont sont victimes les populations et invite tous les acteurs à recourir au dialogue ».
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