«Il y a des efforts qui ont été faits e qu’il faut saluer parce qu’il y a cette volonté de prendre en charge les préoccupations des populations. Que ça soit la bourse, la couverture maladie universelle, la diminution des denrées de première nécessité etc. mais je pense que c’est encore insuffisant», a déclaré Pape Demba Sy leader de l’Udf Mbolomi. Il revenait sur quelques questions qui faisaient l’actualité.
Pape Demba Sy, par ailleurs professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar affirme que l’espoir suscité par le départ de Wade est la raison d’une certaine déception des Sénégalais par rapport à leurs attentes. «Ils attendent plus que le pouvoir ne peut faire et ça c’est la vérité et c’est normal parce que le départ de Wade a suscité beaucoup d’espoir et on a cru qu’avec son départ beaucoup de choses allaient changer rapidement surtout, et de façon positive», déclare-t-il lors de l’émission «objection» de la Sud fm. Et de poursuivre : «Il appartient maintenant au pouvoir en place de communiquer clairement sur la question, d’expliquer aux populations que lorsqu’on veut changer les choses en profondeurs, il faut que ça prenne du temps et que tous les pays qui se sont développer ne l’on pas fait en 3 ou 4 ans, mais cela se fait au moins pendant une génération».
Mais selon lui, il faut une communication appropriée pour le faire comprendre au Sénégalais que c’est petit à petit que le pays peut se développer.
Pape Demba Sy, par ailleurs professeur de Droit public à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar affirme que l’espoir suscité par le départ de Wade est la raison d’une certaine déception des Sénégalais par rapport à leurs attentes. «Ils attendent plus que le pouvoir ne peut faire et ça c’est la vérité et c’est normal parce que le départ de Wade a suscité beaucoup d’espoir et on a cru qu’avec son départ beaucoup de choses allaient changer rapidement surtout, et de façon positive», déclare-t-il lors de l’émission «objection» de la Sud fm. Et de poursuivre : «Il appartient maintenant au pouvoir en place de communiquer clairement sur la question, d’expliquer aux populations que lorsqu’on veut changer les choses en profondeurs, il faut que ça prenne du temps et que tous les pays qui se sont développer ne l’on pas fait en 3 ou 4 ans, mais cela se fait au moins pendant une génération».
Mais selon lui, il faut une communication appropriée pour le faire comprendre au Sénégalais que c’est petit à petit que le pays peut se développer.