Unis comme un seul homme, hommes et femmes de la descendance de Seydi El Hadj Malick Sy ont répondu présents ce mercredi pour s’indigner de la profanation de la mosquée construite par leur ascendant. Un rassemblement mandaté par le khalife général des Tidjanes, Serigne Mansour Sy, précise Mame Youssoupha Diop, petit-fils de Mame Assiètou Sy d’El Hadj Malick Sy.
Dans un contexte marqué par de violentes manifestations qui se sont soldées par des morts d’hommes, le collectif par la voix de Serigne Habib Sy ibn Serigne Moustapha Sy Djamil a présenté ses condoléances aux familles des victimes et prié pour le repos en paix des âmes. Des condoléances également pour la Souna et la Charia qui selon Serigne Habib Sy, sont plus que lésées dans ce pays. Par rapport à l’incident qui s’est produit à la Zawiya, « cela dépasse la profanation, le blasphème et est au-dessus du sacrilège aux yeux de Dieu », tonne-t-il.
Ne pouvant pas riposter par rapport à cette provocation, car « nous possédons la force de Dieu et on ne peut pas répliquer avec le pouvoir de Dieu », s’est-il expliqué. Toutefois, dans une déclaration faite à Tivaouane ce 20 février, le collectif « appelle le président de la République à présenter publiquement ses excuses à la communauté musulmane en général, la Tarîqa Tidjanya en particulier, et singulièrement, à la famille Cheikh El Hadj Malick Sy (RTA).
Par ailleurs, même si Abdoulaye Wade leur avait donné le prétexte de brûler le pays, disent-ils, les descendants de Maodo promettent de ne pas agir, mais à condition que le chef de l’Etat accepte de démettre Me Ousmane Ngom de ses fonctions, car le ministre de l’intérieur est selon eux, « un homme dangereux qui privilégie la violence ». Au cas contraire, Me Abdoulaye Wade aura l’entière responsabilité, soutiennent-ils.
Face à la presse, les petits fils et arrières petits fils d’El Hadj Malick Sy ont rappelé au président de la République les innombrables démarches effectuées par leur père Serigne Abdoul Sy Dabakh, notamment pour la sortie d’Abdoulaye Wade de prison en 1988. Et c’est au nom de ce dernier, réitèrent-ils, qu’ils lui demandent d’en faire autant pour préserver la paix au Sénégal. Ils n’ont pas oublié de magnifier la solidarité de l’ensemble des musulmans et de l’Eglise, suite à la désacralisation de la mosquée de leur aïeul. D’importantes prières pour l’instauration et la consolidation de la paix ont clôturé cette conférence de presse.
Dans un contexte marqué par de violentes manifestations qui se sont soldées par des morts d’hommes, le collectif par la voix de Serigne Habib Sy ibn Serigne Moustapha Sy Djamil a présenté ses condoléances aux familles des victimes et prié pour le repos en paix des âmes. Des condoléances également pour la Souna et la Charia qui selon Serigne Habib Sy, sont plus que lésées dans ce pays. Par rapport à l’incident qui s’est produit à la Zawiya, « cela dépasse la profanation, le blasphème et est au-dessus du sacrilège aux yeux de Dieu », tonne-t-il.
Ne pouvant pas riposter par rapport à cette provocation, car « nous possédons la force de Dieu et on ne peut pas répliquer avec le pouvoir de Dieu », s’est-il expliqué. Toutefois, dans une déclaration faite à Tivaouane ce 20 février, le collectif « appelle le président de la République à présenter publiquement ses excuses à la communauté musulmane en général, la Tarîqa Tidjanya en particulier, et singulièrement, à la famille Cheikh El Hadj Malick Sy (RTA).
Par ailleurs, même si Abdoulaye Wade leur avait donné le prétexte de brûler le pays, disent-ils, les descendants de Maodo promettent de ne pas agir, mais à condition que le chef de l’Etat accepte de démettre Me Ousmane Ngom de ses fonctions, car le ministre de l’intérieur est selon eux, « un homme dangereux qui privilégie la violence ». Au cas contraire, Me Abdoulaye Wade aura l’entière responsabilité, soutiennent-ils.
Face à la presse, les petits fils et arrières petits fils d’El Hadj Malick Sy ont rappelé au président de la République les innombrables démarches effectuées par leur père Serigne Abdoul Sy Dabakh, notamment pour la sortie d’Abdoulaye Wade de prison en 1988. Et c’est au nom de ce dernier, réitèrent-ils, qu’ils lui demandent d’en faire autant pour préserver la paix au Sénégal. Ils n’ont pas oublié de magnifier la solidarité de l’ensemble des musulmans et de l’Eglise, suite à la désacralisation de la mosquée de leur aïeul. D’importantes prières pour l’instauration et la consolidation de la paix ont clôturé cette conférence de presse.