Les inscriptions ont démarré, mais vraiment au ralenti dans la banlieue. Les enseignants fixés pour le 3 octobre et les élèves pour le 6 du même mois. Au niveau de l’école 25 à Khaly Madiakhaté Kala de Wakhinane, ce n’est pas le grand rush. Des parents absents pour le moment. Les rares personnes rencontrées ont émis le souhait de voir la somme pour l’inscription allégée par les autorités en charge de l’éducation. «On se débrouille comme on peut mais il nous faut débrouiller de la manière la plus difficile pour inscrire nos enfants", a souligné Fatou Diallo, vendeuse de poisson à son état, au marché BouBess.
Même son de cloche pour d'autres parents. Trouvée devant sa maison, cette dame explique que «les temps sont durs. On vient tout juste de célébrer la Korité. Et bientôt la Tabaski. Il faut serrer la ceinture pour ensuite acheter des fournitures aux enfants. Les autorités doivent s’impliquer davantage pour aider les parents». Au niveau de l’école Joseph Corréa A même scénario. Les rares personnes rencontrées dans la cour ont exprimé leur souhait de voir une réduction du coût des inscriptions.
Pour ce membre de l’administration, chaque année c’est comme ça. «Les parents attendent le dernier moment pour prendre d’assaut les écoles. C’est vrai que les temps sont durs mais tel est le cas» renchérit El Hadj Bira Fall, principal de l’école. Pour ce parent d’élève sous le couvert de l’anonymat, «rien que pour les livres, il faut plus de 25 000 FCFA. Sans compter les cahiers, l’inscription à 10 milles franc entre autres, s’en est de trop. Autre facteur, l’occupation des écoles. Pour cette année, tel n’est pas le cas. Mais, on note par contre la présence des eaux aussi verdâtres à l’école 20. Des herbes non faucardées. Des salles de classes difficiles d’accès. La salle du directeur fermée à clef.
Au lycée Seydina Limamoulaye de Pikine Guédiawaye, les élèves s’affairent à régler les derniers détails pour s’inscrire. Selon Mbaye Sarr, le proviseur dudit établissement, les choses certes sont au ralenti mais n’empêche, les cours démarreront à date échue. De même, les travaux de réhabilitation en cours feront que les choses vont changer. «Il y aura des abris provisoires et d’autres bâtiments seront inoccupés donc on fera un dispatching des élèves» déclare le proviseur.
Pour le moment tout semble être au ralenti. Des parents qui courent de gauche à droite pour une dépense quotidienne et des enfants qui pensent déjà aux fournitures.
Même son de cloche pour d'autres parents. Trouvée devant sa maison, cette dame explique que «les temps sont durs. On vient tout juste de célébrer la Korité. Et bientôt la Tabaski. Il faut serrer la ceinture pour ensuite acheter des fournitures aux enfants. Les autorités doivent s’impliquer davantage pour aider les parents». Au niveau de l’école Joseph Corréa A même scénario. Les rares personnes rencontrées dans la cour ont exprimé leur souhait de voir une réduction du coût des inscriptions.
Pour ce membre de l’administration, chaque année c’est comme ça. «Les parents attendent le dernier moment pour prendre d’assaut les écoles. C’est vrai que les temps sont durs mais tel est le cas» renchérit El Hadj Bira Fall, principal de l’école. Pour ce parent d’élève sous le couvert de l’anonymat, «rien que pour les livres, il faut plus de 25 000 FCFA. Sans compter les cahiers, l’inscription à 10 milles franc entre autres, s’en est de trop. Autre facteur, l’occupation des écoles. Pour cette année, tel n’est pas le cas. Mais, on note par contre la présence des eaux aussi verdâtres à l’école 20. Des herbes non faucardées. Des salles de classes difficiles d’accès. La salle du directeur fermée à clef.
Au lycée Seydina Limamoulaye de Pikine Guédiawaye, les élèves s’affairent à régler les derniers détails pour s’inscrire. Selon Mbaye Sarr, le proviseur dudit établissement, les choses certes sont au ralenti mais n’empêche, les cours démarreront à date échue. De même, les travaux de réhabilitation en cours feront que les choses vont changer. «Il y aura des abris provisoires et d’autres bâtiments seront inoccupés donc on fera un dispatching des élèves» déclare le proviseur.
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