20.000 réfugiés nigérians ont été sommés de quitter le Cameroun. Des agences humanitaires s'alarment du "retour forcé" du Cameroun de milliers de réfugiés nigérians qui ont fui les combats entre l'armée et Boko Haram au Cameroun.
"Les autorités camerounaises et nigérianes leur ont dit de partir", rapporte Stephanie Remion, coordinatrice d'urgence pour MSF.
Ce retour forcé est contre les lois internationales d'accueil des réfugiés, rappelle de son côté Médecins sans Frontières (MSF).
Les autorités camerounaises ont ordonné le retour d'environ 20.000 réfugiés nigérians, à Rann, dans l'extrême nord-est du Nigeria, cible répétée des insurgés de Boko Haram.
Il s'agit d'une zone à laquelle le personnel humanitaire n'a plus accès depuis le mois de décembre. Dans un rapport de l'ONU, ont peu lire que "ces personnes ont un besoin cruel d'assistance humanitaire, notamment d'abris, de nourriture ou d'eau potable".
"Les autorités camerounaises et nigérianes leur ont dit de partir", rapporte Stephanie Remion, coordinatrice d'urgence pour MSF.
Ce retour forcé est contre les lois internationales d'accueil des réfugiés, rappelle de son côté Médecins sans Frontières (MSF).
Les autorités camerounaises ont ordonné le retour d'environ 20.000 réfugiés nigérians, à Rann, dans l'extrême nord-est du Nigeria, cible répétée des insurgés de Boko Haram.
Il s'agit d'une zone à laquelle le personnel humanitaire n'a plus accès depuis le mois de décembre. Dans un rapport de l'ONU, ont peu lire que "ces personnes ont un besoin cruel d'assistance humanitaire, notamment d'abris, de nourriture ou d'eau potable".