photo: www.planetmonde.com
Un pilote témoin du crash du vol AF 447 lève un coin du voile sur la disparition de l’Airbus 330 d’Air France. «Soudain, au loin, nous voyons un fort et intense flash de lumière blanche qui a eu une tendance à la baisse et verticale. Cette lumière s’est évanouie dans les six secondes». C’est ce que le commandant du vol 974 de Air Comet a consigné dans un rapport transmis à la direction de cette compagnie et dont le journal espagnol «El Mundo» a eu copie.
Le pilote du vol 974 d’Air Comet assurant la liaison Lima-Madrid a fait savoir qu’il a été obligé de faire un détour de 60km pour éviter l’orage. «A notre arrivée à la périphérie de Cayenne (en Guyane Française), une activité de formation et de développement des nuages nous a poussé à faire un détour de près 30 miles», a-t-il confié.
L’avion de la compagnie Air Comet était de 7 degrés au nord de l’équateur et du méridien 49 ouest. Cette situation géographique correspond à l’estimation de l’emplacement de l’A-330-203 au moment de sa disparition, en Equateur et qui est sur le méridien 30 ouest.
Ces informations issues du rapport ont été confirmées par la direction de la compagnie Air Comet. Et elles ont été transmises, selon le journal espagnol à la direction générale de l’aviation civile espagnole, au constructeur de l’avion (Airbus) et à Air France.
Le pilote du vol 974 d’Air Comet assurant la liaison Lima-Madrid a fait savoir qu’il a été obligé de faire un détour de 60km pour éviter l’orage. «A notre arrivée à la périphérie de Cayenne (en Guyane Française), une activité de formation et de développement des nuages nous a poussé à faire un détour de près 30 miles», a-t-il confié.
L’avion de la compagnie Air Comet était de 7 degrés au nord de l’équateur et du méridien 49 ouest. Cette situation géographique correspond à l’estimation de l’emplacement de l’A-330-203 au moment de sa disparition, en Equateur et qui est sur le méridien 30 ouest.
Ces informations issues du rapport ont été confirmées par la direction de la compagnie Air Comet. Et elles ont été transmises, selon le journal espagnol à la direction générale de l’aviation civile espagnole, au constructeur de l’avion (Airbus) et à Air France.