Les patrons de presse avaient jusqu'au 31 décembre 2019, pour se conformer à la nouvelle convention des professionnels de l'information et de la communication. Mais, au sortir de la cérémonie de l’installation officielle de la commission de la carte nationale de presse et de la validation des acquis de l’expérience, qui s'est tenue ce lundi 27 janvier 2020, l'on se rend compte que la question de la précarité des professionnels de l'information ne sera pas résolue de sitôt.
En effet, le ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop a annoncé, qu’un un atelier sera convoqué les 13 et 14 février 2020, pour rendre effective l’application des textes du code de la presse. Et pourtant la date butoir était le 31 décembre dernier.
« C’est dans un contexte difficile de la presse que le code a été élaboré avant d’être adopté en 2017. L’objectif est d’ailleurs d’assainir la presse, la renforcer et l’adapter à l’évolution technologique. Le nouveau rôle annonce également plusieurs instruments pour rendre effective l’application de ses textes. Il s’agit des instruments de la mise en place d’un fond d’appui et de développement de la presse par le secteur pour le secteur privé, par décret qui sera examiné les 13 et 14 février au cours d’un atelier convoqué à cet effet. Mais également du financement et de la restructuration des médias publiques, de la transition vers le numérique avec le TDS et de la nouvelle loi sur la publicité », indique le ministre Abdoulaye Diop, face à la presse.
Il ajoute : "le code de la presse encourage la formation, le renforcement des instances d’autorégulation et de régulation et fixe pour la première fois les conditions de création d’une entreprise de presse en ligne et les obligations. Désormais on parlera d’entreprise de presse en lieu et place d’organe de presse. Ceci pour encourager la viabilité économique."
En effet, le ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop a annoncé, qu’un un atelier sera convoqué les 13 et 14 février 2020, pour rendre effective l’application des textes du code de la presse. Et pourtant la date butoir était le 31 décembre dernier.
« C’est dans un contexte difficile de la presse que le code a été élaboré avant d’être adopté en 2017. L’objectif est d’ailleurs d’assainir la presse, la renforcer et l’adapter à l’évolution technologique. Le nouveau rôle annonce également plusieurs instruments pour rendre effective l’application de ses textes. Il s’agit des instruments de la mise en place d’un fond d’appui et de développement de la presse par le secteur pour le secteur privé, par décret qui sera examiné les 13 et 14 février au cours d’un atelier convoqué à cet effet. Mais également du financement et de la restructuration des médias publiques, de la transition vers le numérique avec le TDS et de la nouvelle loi sur la publicité », indique le ministre Abdoulaye Diop, face à la presse.
Il ajoute : "le code de la presse encourage la formation, le renforcement des instances d’autorégulation et de régulation et fixe pour la première fois les conditions de création d’une entreprise de presse en ligne et les obligations. Désormais on parlera d’entreprise de presse en lieu et place d’organe de presse. Ceci pour encourager la viabilité économique."