Au vu de ce qui est arrivé au Sénégal, ces derniers temps, chacun peut en avoir une interprétation et véhiculer des analyses bâties sur ses propres paradigmes et convictions. Les miennes se fondent sur ceux que j’expose ci-après en matière de leadership, de changement, de la transformation et ses préalables, autant de questions autour de ma vie d’auteur, de conférencier, de consultant et de coach international…
Une première leçon apprise est qu’il ne s’agit pas de se concentrer perpétuellement sur ce qui nous est arrivé, mais sur ce que nous voulons devenir et puis comment le faire, car dire ne suffit pas, il faut le pouvoir faire. En effet, pour que cela change vraiment, il faudra prendre en main notre destin institutionnel, économique et social. Mais cela suppose une alliance entre élites unies autour du credo de l’excellence et de la transformation, à un moment donné de l’histoire comme cela suppose en même temps l’isolement des rentiers, « patrimonialistes et autres prédateurs. Evidemment, c’est toute une stratégie et à cet égard, le choix de l’excellence est un des enjeux ! Un tel mouvement a besoin d’un pilote, de pilotes et d’équipes hautement compétents motivés par des idéaux de leadership transformationnel et par ce culte susvisé de l’excellence. Au vu de réussites prouvées (Dubaï, Singapour, Corée du Nord, Malaisie, Botswana, Taiwan, Maurice, Botswana, etc.) et de recherches établies, il paraît que l’enjeu est celui de la performance, des résultats, de l’inclusion et de la transformation. Une transformation qu’il serait vain d’espérer sans de tels leaders et équipes capables de créer dans la tête, le cœur et l’esprit des citoyens, le culte de l’excellence, du travail, de la méritocratie, de la performance, de mesure de la performance, de l’obligation de rendre compte, etc. Des citoyens qui votent, attendent et sanctionnent pour remplacer celui qui était là, ce n’est pas un très grand rêve de changement, c’est un tout petit rêve, un manque d’ambitions fortes de transformation. Des candidats qui promettent à coup de slogans et de dires, ce n’est pas non plus un gage de transformation par rapport à l’autre qui était là avant. En réalité, la démocratie électorale, à elle seule, ne changera pas notre sort. Il faut plus, bien plus, plus d’ambition, plus de citoyenneté responsable, plus de travail, plus de mérites, plus de récompenses, plus de capacités de penser et de comparer des modèles, des profils et de leurs attitudes, des histoires et des trajectoires, etc.
Mais l’illusion perdure encore…
L’alternative durable, ce sont ces candidats et leurs cercles rapprochés dignes de nom qui savent qu’il faut créer un vortex, un tourbillon vivace qui déclenchera le cercle vertueux de l’accélération stratégique de la transformation économique. Il faut ces profils nouveaux capables de construire le portefeuille de « business-models », de produits et de services homogènes qui mobilisent, concrétisent l’ouverture au monde (Dubaï l’appelait les 3 T comme Trade, Tourisme, Transport), avec d’étonnants atouts dont le Sénégal dispose à cet égard du fait de sa localisation. Un tel portefeuille est synergique, il a ses propres forces d’expansion, une dynamique d’impulsion, de diversification (ports, entrepôts, avions, internet et wifi, tourisme, transport et logistique, restauration de classe internationale, hôtels et croisières, etc.)
De tels leaders susvisés sont capables, par les faits et les courtes victoires de tous les jours, récompensées, rappelées aux sénégalais, de réorienter les citoyens vers de vraies questions sur leurs destins et sur leurs propres responsabilités ! Mais, alors, faudrait-il avoir des citoyens capables de privilégier les profils et de conclure dans quelle mesure le leadership qui veut s’affirmer et nous diriger est capable de produire des résultats socio-économiques durables, inclusifs, des impacts, de libérer les cœurs et les esprits, de décomplexer les gens, et de mener toutes les réformes qui vont avec… Ces réformes sont institutionnelles, concernent le management de l’Etat, la gouvernance, la surveillance, le leadership, les capacités et talents, le Hard et le Soft, et bien d’autres dimensions. Ce sont, entre autres, des leviers de transformation pour changer votre vie, transformer le Sénégal en une société résiliente, ouverte au monde, mais originale, capable d’innover, de transformer les choses et de prendre son destin en main ! La difficulté ? Comment le savoir surtout lorsque se bousculent aux portillons du pouvoir des gens qui n’ont jamais rien dirigé, ni produit, rien créé, qui répètent des slogans que vous lirez partout, qui n’ont ni héritage ou sacrifices prouvés et durables au moment de l’expression de leurs ambitions. Reconnaissons-le, pour le moment, ici, chez la plupart des gens, l’excellence est une habitude à construire, à renforcer et c’est le rôle du leadership politique d’agir, d’influencer les comportements, les routines journalières, d’inciter, de récompenser pour la réalisation d’une œuvre transformationnelle durable. Une tâche bien noble qui attend de vrais leaders de la transformation dont nous avons besoin.
Il faut alors ces transformateurs qui ont de fortes convictions, pas strictement de la « politique politicienne », pas forcément les talents des promesses faciles que tout le monde peut faire et toutes ces choses qui ne sont que des illusions dans le monde ouvert d’aujourd’hui, qui nous obligent à vivre dans l’attente d’une vie meilleure qui ne viendra pas, dans cette illusion en cours depuis l’indépendance de leaders révolutionnaires, panafricanismes, populistes qui perdure qui jusqu’ici et qui n’a rien apporté. Aux premières heures de l’indépendance, Lee Kuan Yu (Voire ses mémoires et les archives sur ses passages en Afrique) avertissait les dirigeants africains en les invitant à être pratiques, à ne pas être prisonniers d’idéologies révolutionnaires, capitalistes, socialistes ou autres, à être pragmatiques, à sélectionner, à être attentifs aux bonnes et aux meilleures pratiques, aux choses qui marchent beaucoup plus que des idéologies non prouvées. Comme l’écrit John Collins, l’excellence n’est pas une « question de circonstances, mais une question de choix conscient et largement de discipline. »
La discipline, un autre grand et vrai chantier que quasiment tous n’évoquent pas dans leurs programmes, leurs discours au quotidien, n’indiquent pas le comment, le pourquoi, leurs réformes prévues à cet égard.
Si le candidat n’a aucune idée des domaines dans lesquels porte son pari politique, si ce n’est des idées vagues, ne vous précise pas comment il construira le nouvel ordre généralisant la créativité, les innovations, de la valeur et la création de richesses, pourquoi compter sur lui pour vraiment changer quoi que ce soit. Après avoir comparé plusieurs centaines d’organisations, Les leaders qui nous tireront d’affaires sont ceux qui sauront nous faire passer à l’ère de l’excellence. Jim Collins conceptualisait cette fameuse doctrine en expliquant comment passer de GOOD (ce qui est bon et performant) au GREAT (ce qui est excellent, un peu le summum de l’art). Et, rappellera-t-il, il faut de la discipline pour cela, la discipline des gens et des ressources humaines ; la discipline de la pensée et des actions disciplinées. A supposer que certains aient un projet politique digne de ce nom, quasiment aucun ne semble envisager cet impératif d’une société disciplinée éthique fortement corrélée à une stratégie la haute performance, de transparence, d’intégrité, de transformation publique et structurelle de l’économie et d’excellence. Qu’ils expliquent alors pourquoi, comment, avec qui, etc.
De nombreuses recherches sur la gouvernance, le leadership, le management, pendant plus de vingt ans, m’amènent à constater la réalité qu’est la difficulté de changer, car cela suppose non seulement une transformation individuelle, mais aussi une transformation collective. Et cela rappelle cette fameuse phrase de plusieurs grands coaches : « Pour que les choses changent, il faut que nous changions nous-mêmes, si nous ne changeons pas la vision que nous avons du leadership et du chef, des institutions, de la responsabilité, de l’humilité, de la gestion des conflits et du consensus, du mérite du gouvernement, de la politique et des politiciens. » Un premier pas vers ce changement, c’est l’introspection, plus précisément des leaders capables de déclencher un tel processus, de recruter, de récompenser, de valoriser les critiques positives, etc. Il faut remarquer aussi que cela ne se fait seulement pas par des paroles, des critiques et des vociférations, par ses capacités de « bomber la poitrine » que certains ici au Sénégal ont assimilé à l’art de la politique et au bon profil de leader politique. Il faudra aussi renforcer les capacités en pensée plus stratégique éloignée de la simple et routinière réflexion politicienne qui tue les vrais débats, les capacités à agir, à transformer par des méthodes, à prendre le « lead » de grandes idées et de projets transformationnels, à remplacer la parole simple par des outils d’actions implémentées. A cet égard, de nombreux référentiels à adapter à nos réalités sont possibles (Balanced scorecard - Programmes de leadership et de coaching - Modèles d’excellence comme Baldrige Framework, EFQM – Cadres, lois et règlements de performance et de résultats au sein du Gouvernement - Gouvernance de proximité et/ou gouvernance partenariale et ses impacts en matière de relations de travail et de Delivery aux citoyens - Benchmarking, Gouvernance à l’échelle des entreprises et des organisations - Gestion des risques pays et à l’échelle de nos organisation corrélée à de processus de gouvernance et performances éthiques au sein de l’Etat et du gouvernement avec ses implications sur la gestion des performances et stratégies de transformation publique - Réformes des vérifications (audit interne public, investigations, évaluations, etc.), McKinsey Framework, Big Fast Results, centres de responsabilités et de performance, etc.) En réalité, il s’agit de s’en inspirer en les réinventant, comme disait le Président Léopold Sédar Senghor en pensant par nous-mêmes et pour mêmes, tout en étant ouverts aux apports fécondants de l’extérieur, d’adapter, non d’adopter.
Cela est possible, mais il faut l’équipe et les ressources compétentes. En attendant, la politique politicienne, les coalitions contre-nature, les slogans d’une nouvelle classe de pseudo-révolutionnaires restent les plus grands maux d’un pays comme le Sénégal, notamment de la politique. L’optimisme commande de ne pas désespérer. Le vrai changement, c’est quand l’Excellence commence aussi à s’imposer comme une norme de qualité, de vie et de fonctionnement au niveau des manageurs, des instances de gouvernance, des entrepreneurs, des leaders, des travailleurs et des citoyens, comme norme de la politique. En fait, c’est un leader et une équipe dotés de ces profils et de ces capacités qu’il vous faut ; ce n’est pas un individu qui gagne, mais une équipe ; pour parler un peu comme John C. Maxwell, « Un est un tout petit nombre pour atteindre la grandeur… »
Une première leçon apprise est qu’il ne s’agit pas de se concentrer perpétuellement sur ce qui nous est arrivé, mais sur ce que nous voulons devenir et puis comment le faire, car dire ne suffit pas, il faut le pouvoir faire. En effet, pour que cela change vraiment, il faudra prendre en main notre destin institutionnel, économique et social. Mais cela suppose une alliance entre élites unies autour du credo de l’excellence et de la transformation, à un moment donné de l’histoire comme cela suppose en même temps l’isolement des rentiers, « patrimonialistes et autres prédateurs. Evidemment, c’est toute une stratégie et à cet égard, le choix de l’excellence est un des enjeux ! Un tel mouvement a besoin d’un pilote, de pilotes et d’équipes hautement compétents motivés par des idéaux de leadership transformationnel et par ce culte susvisé de l’excellence. Au vu de réussites prouvées (Dubaï, Singapour, Corée du Nord, Malaisie, Botswana, Taiwan, Maurice, Botswana, etc.) et de recherches établies, il paraît que l’enjeu est celui de la performance, des résultats, de l’inclusion et de la transformation. Une transformation qu’il serait vain d’espérer sans de tels leaders et équipes capables de créer dans la tête, le cœur et l’esprit des citoyens, le culte de l’excellence, du travail, de la méritocratie, de la performance, de mesure de la performance, de l’obligation de rendre compte, etc. Des citoyens qui votent, attendent et sanctionnent pour remplacer celui qui était là, ce n’est pas un très grand rêve de changement, c’est un tout petit rêve, un manque d’ambitions fortes de transformation. Des candidats qui promettent à coup de slogans et de dires, ce n’est pas non plus un gage de transformation par rapport à l’autre qui était là avant. En réalité, la démocratie électorale, à elle seule, ne changera pas notre sort. Il faut plus, bien plus, plus d’ambition, plus de citoyenneté responsable, plus de travail, plus de mérites, plus de récompenses, plus de capacités de penser et de comparer des modèles, des profils et de leurs attitudes, des histoires et des trajectoires, etc.
Mais l’illusion perdure encore…
L’alternative durable, ce sont ces candidats et leurs cercles rapprochés dignes de nom qui savent qu’il faut créer un vortex, un tourbillon vivace qui déclenchera le cercle vertueux de l’accélération stratégique de la transformation économique. Il faut ces profils nouveaux capables de construire le portefeuille de « business-models », de produits et de services homogènes qui mobilisent, concrétisent l’ouverture au monde (Dubaï l’appelait les 3 T comme Trade, Tourisme, Transport), avec d’étonnants atouts dont le Sénégal dispose à cet égard du fait de sa localisation. Un tel portefeuille est synergique, il a ses propres forces d’expansion, une dynamique d’impulsion, de diversification (ports, entrepôts, avions, internet et wifi, tourisme, transport et logistique, restauration de classe internationale, hôtels et croisières, etc.)
De tels leaders susvisés sont capables, par les faits et les courtes victoires de tous les jours, récompensées, rappelées aux sénégalais, de réorienter les citoyens vers de vraies questions sur leurs destins et sur leurs propres responsabilités ! Mais, alors, faudrait-il avoir des citoyens capables de privilégier les profils et de conclure dans quelle mesure le leadership qui veut s’affirmer et nous diriger est capable de produire des résultats socio-économiques durables, inclusifs, des impacts, de libérer les cœurs et les esprits, de décomplexer les gens, et de mener toutes les réformes qui vont avec… Ces réformes sont institutionnelles, concernent le management de l’Etat, la gouvernance, la surveillance, le leadership, les capacités et talents, le Hard et le Soft, et bien d’autres dimensions. Ce sont, entre autres, des leviers de transformation pour changer votre vie, transformer le Sénégal en une société résiliente, ouverte au monde, mais originale, capable d’innover, de transformer les choses et de prendre son destin en main ! La difficulté ? Comment le savoir surtout lorsque se bousculent aux portillons du pouvoir des gens qui n’ont jamais rien dirigé, ni produit, rien créé, qui répètent des slogans que vous lirez partout, qui n’ont ni héritage ou sacrifices prouvés et durables au moment de l’expression de leurs ambitions. Reconnaissons-le, pour le moment, ici, chez la plupart des gens, l’excellence est une habitude à construire, à renforcer et c’est le rôle du leadership politique d’agir, d’influencer les comportements, les routines journalières, d’inciter, de récompenser pour la réalisation d’une œuvre transformationnelle durable. Une tâche bien noble qui attend de vrais leaders de la transformation dont nous avons besoin.
Il faut alors ces transformateurs qui ont de fortes convictions, pas strictement de la « politique politicienne », pas forcément les talents des promesses faciles que tout le monde peut faire et toutes ces choses qui ne sont que des illusions dans le monde ouvert d’aujourd’hui, qui nous obligent à vivre dans l’attente d’une vie meilleure qui ne viendra pas, dans cette illusion en cours depuis l’indépendance de leaders révolutionnaires, panafricanismes, populistes qui perdure qui jusqu’ici et qui n’a rien apporté. Aux premières heures de l’indépendance, Lee Kuan Yu (Voire ses mémoires et les archives sur ses passages en Afrique) avertissait les dirigeants africains en les invitant à être pratiques, à ne pas être prisonniers d’idéologies révolutionnaires, capitalistes, socialistes ou autres, à être pragmatiques, à sélectionner, à être attentifs aux bonnes et aux meilleures pratiques, aux choses qui marchent beaucoup plus que des idéologies non prouvées. Comme l’écrit John Collins, l’excellence n’est pas une « question de circonstances, mais une question de choix conscient et largement de discipline. »
La discipline, un autre grand et vrai chantier que quasiment tous n’évoquent pas dans leurs programmes, leurs discours au quotidien, n’indiquent pas le comment, le pourquoi, leurs réformes prévues à cet égard.
Si le candidat n’a aucune idée des domaines dans lesquels porte son pari politique, si ce n’est des idées vagues, ne vous précise pas comment il construira le nouvel ordre généralisant la créativité, les innovations, de la valeur et la création de richesses, pourquoi compter sur lui pour vraiment changer quoi que ce soit. Après avoir comparé plusieurs centaines d’organisations, Les leaders qui nous tireront d’affaires sont ceux qui sauront nous faire passer à l’ère de l’excellence. Jim Collins conceptualisait cette fameuse doctrine en expliquant comment passer de GOOD (ce qui est bon et performant) au GREAT (ce qui est excellent, un peu le summum de l’art). Et, rappellera-t-il, il faut de la discipline pour cela, la discipline des gens et des ressources humaines ; la discipline de la pensée et des actions disciplinées. A supposer que certains aient un projet politique digne de ce nom, quasiment aucun ne semble envisager cet impératif d’une société disciplinée éthique fortement corrélée à une stratégie la haute performance, de transparence, d’intégrité, de transformation publique et structurelle de l’économie et d’excellence. Qu’ils expliquent alors pourquoi, comment, avec qui, etc.
De nombreuses recherches sur la gouvernance, le leadership, le management, pendant plus de vingt ans, m’amènent à constater la réalité qu’est la difficulté de changer, car cela suppose non seulement une transformation individuelle, mais aussi une transformation collective. Et cela rappelle cette fameuse phrase de plusieurs grands coaches : « Pour que les choses changent, il faut que nous changions nous-mêmes, si nous ne changeons pas la vision que nous avons du leadership et du chef, des institutions, de la responsabilité, de l’humilité, de la gestion des conflits et du consensus, du mérite du gouvernement, de la politique et des politiciens. » Un premier pas vers ce changement, c’est l’introspection, plus précisément des leaders capables de déclencher un tel processus, de recruter, de récompenser, de valoriser les critiques positives, etc. Il faut remarquer aussi que cela ne se fait seulement pas par des paroles, des critiques et des vociférations, par ses capacités de « bomber la poitrine » que certains ici au Sénégal ont assimilé à l’art de la politique et au bon profil de leader politique. Il faudra aussi renforcer les capacités en pensée plus stratégique éloignée de la simple et routinière réflexion politicienne qui tue les vrais débats, les capacités à agir, à transformer par des méthodes, à prendre le « lead » de grandes idées et de projets transformationnels, à remplacer la parole simple par des outils d’actions implémentées. A cet égard, de nombreux référentiels à adapter à nos réalités sont possibles (Balanced scorecard - Programmes de leadership et de coaching - Modèles d’excellence comme Baldrige Framework, EFQM – Cadres, lois et règlements de performance et de résultats au sein du Gouvernement - Gouvernance de proximité et/ou gouvernance partenariale et ses impacts en matière de relations de travail et de Delivery aux citoyens - Benchmarking, Gouvernance à l’échelle des entreprises et des organisations - Gestion des risques pays et à l’échelle de nos organisation corrélée à de processus de gouvernance et performances éthiques au sein de l’Etat et du gouvernement avec ses implications sur la gestion des performances et stratégies de transformation publique - Réformes des vérifications (audit interne public, investigations, évaluations, etc.), McKinsey Framework, Big Fast Results, centres de responsabilités et de performance, etc.) En réalité, il s’agit de s’en inspirer en les réinventant, comme disait le Président Léopold Sédar Senghor en pensant par nous-mêmes et pour mêmes, tout en étant ouverts aux apports fécondants de l’extérieur, d’adapter, non d’adopter.
Cela est possible, mais il faut l’équipe et les ressources compétentes. En attendant, la politique politicienne, les coalitions contre-nature, les slogans d’une nouvelle classe de pseudo-révolutionnaires restent les plus grands maux d’un pays comme le Sénégal, notamment de la politique. L’optimisme commande de ne pas désespérer. Le vrai changement, c’est quand l’Excellence commence aussi à s’imposer comme une norme de qualité, de vie et de fonctionnement au niveau des manageurs, des instances de gouvernance, des entrepreneurs, des leaders, des travailleurs et des citoyens, comme norme de la politique. En fait, c’est un leader et une équipe dotés de ces profils et de ces capacités qu’il vous faut ; ce n’est pas un individu qui gagne, mais une équipe ; pour parler un peu comme John C. Maxwell, « Un est un tout petit nombre pour atteindre la grandeur… »