Les participants de l'atelier de lancement de Licom
L’Afrique représente 2% du commerce mondial. Ce pourcentage est tellement effarent qu’il a suscité l’initiative d’organismes, de chercheurs, d’acteurs du secteur privé et des journalistes afin de booster les économies à travers une libération du commerce des services Technologies de l’information et de la communication (TIC). C’est dans le cadre du projet «Libéralisation internationale du commerce des services TIC : enjeux pour le secteur privé et implications pour la mise en oeuvre de politiques publiques en Afrique de l’Ouest (LICOM)» initié par l’Institut Panos Afrique de l’ouest et financé par le Crdi que ces acteurs de divers horizons se sont retrouvés au début de ce mois de novembre à Touba Dialaw (70 km de Dakar) pour jeter les bases de la recherche et surtout de la méthode à utiliser dans ce travail. Cette initiative a pour but de «contribuer à une meilleure connaissance des enjeux internationaux de la libéralisation du commerce des services TIC, afin de faciliter la formulation de politiques publiques favorables au développement du secteur privé TIC et des TIC en Afrique de l’Ouest».
L’atteinte de cet objectif implique une recherche multidimensionnelle dans une période de deux ans et surtout une mobilisation de l’ensemble des acteurs de l’économie aussi bien pouvoirs publics, opérateurs économiques, communicateurs que société civile.
Structuration du projet Licom
Le projet, qui comprend quatre pays cibles dont le Sénégal, le Bénin, le Ghana et le Nigéria, permettra de mieux comprendre les enjeux et les conditions de mise en oeuvre de la libéralisation du commerce des services TIC dans la région et de proposer des éléments de stratégies pour l’action publique. «Les questions nationales et régionales conditionnant une libéralisation efficiente, pour le bénéfice du secteur privé régional et l’ensemble de la société, seront étudiées, comme également, l’adoption et la mise en oeuvre des accords internationaux à la base de la libéralisation (en particulier l’Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS)) ainsi que leurs impacts sur l’économie des pays cibles, y compris sur le secteur privé, seront passées en revue», a indiqué le document de cadrage
Cette initiative va, en fait, déboucher sur des recommandations seront élaborées à l’attention des décideurs publics et des acteurs du secteur privé, afin que les opportunités de la libéralisation soient concrétisées et que les décideurs puissent mieux participer aux futures négociations. Des activités d’information et de capitalisation seront organisées, afin de favoriser un renforcement des capacités et une compréhension d’où l’implication des médias dans ce projet.
Les fondamentaux
Une telle œuvre ne pourra être réalisée sans une bonne imprégnation du cadre législatif et réglementaire des différents pays visés mais aussi de grands ensembles comme la CEDEAO, l’UEMOA et d’autres accords et traités internationaux. C’est d’ailleurs ce qui explique l’objectif d’identifier et d’analyser les dispositifs législatifs clés régissant la libéralisation des TIC. Ce qui va amener les experts à présenter une caractérisation du secteur des services TIC en Afrique de l’Ouest et d’étudier l’état et les enjeux de la libéralisation du commerce des services TIC avant d’évaluer les coûts, avantages de la libéralisation des services TIC dans le contexte de l’AGCS pour enfin favoriser la dissémination et l’appropriation collective par les différents acteurs (décideurs politiques, acteurs du secteur privé des TIC, société civile, y compris les médias, etc.)
Cet atelier a réuni des équipes de recherche, du secteur privé, de juristes et des journalistes venant des quatre pays cibles Ghana, Nigeria, Bénin et Sénégal.
L’atteinte de cet objectif implique une recherche multidimensionnelle dans une période de deux ans et surtout une mobilisation de l’ensemble des acteurs de l’économie aussi bien pouvoirs publics, opérateurs économiques, communicateurs que société civile.
Structuration du projet Licom
Le projet, qui comprend quatre pays cibles dont le Sénégal, le Bénin, le Ghana et le Nigéria, permettra de mieux comprendre les enjeux et les conditions de mise en oeuvre de la libéralisation du commerce des services TIC dans la région et de proposer des éléments de stratégies pour l’action publique. «Les questions nationales et régionales conditionnant une libéralisation efficiente, pour le bénéfice du secteur privé régional et l’ensemble de la société, seront étudiées, comme également, l’adoption et la mise en oeuvre des accords internationaux à la base de la libéralisation (en particulier l’Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS)) ainsi que leurs impacts sur l’économie des pays cibles, y compris sur le secteur privé, seront passées en revue», a indiqué le document de cadrage
Cette initiative va, en fait, déboucher sur des recommandations seront élaborées à l’attention des décideurs publics et des acteurs du secteur privé, afin que les opportunités de la libéralisation soient concrétisées et que les décideurs puissent mieux participer aux futures négociations. Des activités d’information et de capitalisation seront organisées, afin de favoriser un renforcement des capacités et une compréhension d’où l’implication des médias dans ce projet.
Les fondamentaux
Une telle œuvre ne pourra être réalisée sans une bonne imprégnation du cadre législatif et réglementaire des différents pays visés mais aussi de grands ensembles comme la CEDEAO, l’UEMOA et d’autres accords et traités internationaux. C’est d’ailleurs ce qui explique l’objectif d’identifier et d’analyser les dispositifs législatifs clés régissant la libéralisation des TIC. Ce qui va amener les experts à présenter une caractérisation du secteur des services TIC en Afrique de l’Ouest et d’étudier l’état et les enjeux de la libéralisation du commerce des services TIC avant d’évaluer les coûts, avantages de la libéralisation des services TIC dans le contexte de l’AGCS pour enfin favoriser la dissémination et l’appropriation collective par les différents acteurs (décideurs politiques, acteurs du secteur privé des TIC, société civile, y compris les médias, etc.)
Cet atelier a réuni des équipes de recherche, du secteur privé, de juristes et des journalistes venant des quatre pays cibles Ghana, Nigeria, Bénin et Sénégal.