Clédor Sene a appelé ce vendredi les enseignants, les agents de santé et les commerçants à prendre part prochainement à la manifestation pour la libération de l'activiste Guy Marius Sagna, car ce dernier s'est toujours battu pour défendre leurs causes.
"Guy Marius Sagna ne se bat pas pour lui-même. Il s'est battu pour les commerçants avec le slogan "Auchan dégage". Il s'est battu pour les enseignants et le personnel soignant. Je les appelle à prendre part prochainement à la manifestation pour sa libération ", a lancé M. Sene.
Il a attitré l'attention des manifestants sur les dégâts collatéraux que peut causer la lutte pour la transparence dans la gestion des ressources naturelles du Sénégal. "Naturellement, il y aura des gens qu'ils vont emprisonner. On doit intégrer, exiger et imposer leur libération dans notre démarche".
Cledor Sene, l'ancien ministre du Pétrole, Thierno Alassane Sall et le président du mouvement Agir, Thierno Bocoum, ont pris par à la manifestation pour la libération de l'activiste Guy Marius Sagna et du journaliste Adama Gaye. Le premier est placé en garde à vue pour "fausse alerte du terrorisme" et le second, pour notamment "offense au chef de l'État et atteinte à la sûreté de l’Etat.
"Guy Marius Sagna ne se bat pas pour lui-même. Il s'est battu pour les commerçants avec le slogan "Auchan dégage". Il s'est battu pour les enseignants et le personnel soignant. Je les appelle à prendre part prochainement à la manifestation pour sa libération ", a lancé M. Sene.
Il a attitré l'attention des manifestants sur les dégâts collatéraux que peut causer la lutte pour la transparence dans la gestion des ressources naturelles du Sénégal. "Naturellement, il y aura des gens qu'ils vont emprisonner. On doit intégrer, exiger et imposer leur libération dans notre démarche".
Cledor Sene, l'ancien ministre du Pétrole, Thierno Alassane Sall et le président du mouvement Agir, Thierno Bocoum, ont pris par à la manifestation pour la libération de l'activiste Guy Marius Sagna et du journaliste Adama Gaye. Le premier est placé en garde à vue pour "fausse alerte du terrorisme" et le second, pour notamment "offense au chef de l'État et atteinte à la sûreté de l’Etat.