La coalition ŃOO LANK (Nous disons Non) exige la libération de Guy Marius Sagna et ses 7 camarades emprisonnés pour avoir marché devant les grilles du Palais. Sans quoi elle va marcher vendredi prochain sur la Place de l'Indépendance.
La ministre de la Microfinance et de l'Économie sociale et solidaire, qui était l'invité de l'émission Jury Du Dimanche (JDD) estime que ce n'est pas au gouvernement de faire libérer ces manifestants. Et que la nouvelle coalition doit s'adresser à la justice. "Ce n’est pas à l’Etat de (les) libérer. C’est une question qu’il faut adresser à la Justice. Ils seront jugés sur la base de faits parce que la justice, conformément à des lois et textes en vigueur, ne se fait pas sur la base de pression ou de désir", a répondu Zahra Yane Thiam.
Pour ce qui s'agit du décret reclamé par ÑOO LANK, qui annulerait la hausse du prix de l’électricité, la membre du Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance pour la République a apporté sa petite précision. "Parler de hausse du prix de l’électricité, c’est un abus de langage. Parce qu’aucune hausse n’est intervenue sur le prix. Il y a eu le retrait d’une catégorie de clients de la tranche sociale subventionnée par l’Etat du Sénégal. C’est cela la corrélation qu’il faut avoir avec les propos que j’ai tenus (selon lesquels il faut) sécuriser le pouvoir d’achat des travailleurs", fut-elle.
De l'exigence et de l'ultimatum fixés par la coalition de manifestants, Zahra Yane Thiam de souligner :"Toutes les menaces doivent être prises au sérieux. Nous sommes dans un Etat de droit, et en tant que détenteur du suffrage populaire, nous devons être présents à deux niveaux : être à l’écoute des populations et être en conformité avec l’arbitrage qui fait partie de la mission régalienne de l’Etat. (Autrement dit), une fois que tous les désirs sont énoncés par les uns et les autres, il faut que force reste à la loi pour qu’on puisse sécuriser le pouvoir d’achat de tout un chacun".
La ministre de la Microfinance et de l'Économie sociale et solidaire, qui était l'invité de l'émission Jury Du Dimanche (JDD) estime que ce n'est pas au gouvernement de faire libérer ces manifestants. Et que la nouvelle coalition doit s'adresser à la justice. "Ce n’est pas à l’Etat de (les) libérer. C’est une question qu’il faut adresser à la Justice. Ils seront jugés sur la base de faits parce que la justice, conformément à des lois et textes en vigueur, ne se fait pas sur la base de pression ou de désir", a répondu Zahra Yane Thiam.
Pour ce qui s'agit du décret reclamé par ÑOO LANK, qui annulerait la hausse du prix de l’électricité, la membre du Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance pour la République a apporté sa petite précision. "Parler de hausse du prix de l’électricité, c’est un abus de langage. Parce qu’aucune hausse n’est intervenue sur le prix. Il y a eu le retrait d’une catégorie de clients de la tranche sociale subventionnée par l’Etat du Sénégal. C’est cela la corrélation qu’il faut avoir avec les propos que j’ai tenus (selon lesquels il faut) sécuriser le pouvoir d’achat des travailleurs", fut-elle.
De l'exigence et de l'ultimatum fixés par la coalition de manifestants, Zahra Yane Thiam de souligner :"Toutes les menaces doivent être prises au sérieux. Nous sommes dans un Etat de droit, et en tant que détenteur du suffrage populaire, nous devons être présents à deux niveaux : être à l’écoute des populations et être en conformité avec l’arbitrage qui fait partie de la mission régalienne de l’Etat. (Autrement dit), une fois que tous les désirs sont énoncés par les uns et les autres, il faut que force reste à la loi pour qu’on puisse sécuriser le pouvoir d’achat de tout un chacun".