Le président élu du Liberia, Joseph Boakai, prête serment, lundi à Monrovia, pour un mandat de six ans, après sa victoire fin novembre sur le chef de l’Etat sortant George Weah.
M. Boakai, 79 ans, doit être investi lors d’une cérémonie prévue à partir 10H00 (GMT locales) dans la cour du Parlement, en présence de délégations étrangères dont des chefs d’Etat, selon le programme officiel de cette cérémonie.
Le vétéran de la politique libérienne, vice-président de 2006 à 2018 sous la présidence de Ellen Johnson Sirleaf et serviteur de l’Etat pendant plus de 40 ans, a remporté au second tour la présidentielle le 14 novembre, avec 50,64% des voix, contre 49,36% pour son adversaire, l’ex-star du foorball, selon les résultats du scrutin.
M. Weah, qui avait battu M. Boakai en 2017 au second tour, a reconnu sa défaite avant l’officialisation de sa victoire.
Le président Boakai avait appelé les Libériens à s' »unir comme un seul peuple pour reconstruire notre pays« , dans une déclaration publique, fin novembre, après son élection.
Il avait promis « d’étendre le développement à l’ensemble du pays« , en construisant notamment des routes dans la région du sud-est, « négligée depuis des années« .
M. Boakai, 79 ans, doit être investi lors d’une cérémonie prévue à partir 10H00 (GMT locales) dans la cour du Parlement, en présence de délégations étrangères dont des chefs d’Etat, selon le programme officiel de cette cérémonie.
Le vétéran de la politique libérienne, vice-président de 2006 à 2018 sous la présidence de Ellen Johnson Sirleaf et serviteur de l’Etat pendant plus de 40 ans, a remporté au second tour la présidentielle le 14 novembre, avec 50,64% des voix, contre 49,36% pour son adversaire, l’ex-star du foorball, selon les résultats du scrutin.
M. Weah, qui avait battu M. Boakai en 2017 au second tour, a reconnu sa défaite avant l’officialisation de sa victoire.
Le président Boakai avait appelé les Libériens à s' »unir comme un seul peuple pour reconstruire notre pays« , dans une déclaration publique, fin novembre, après son élection.
Il avait promis « d’étendre le développement à l’ensemble du pays« , en construisant notamment des routes dans la région du sud-est, « négligée depuis des années« .