
Le parti dénonce avec force l'usage de la presse pour diffuser des insultes, des calomnies et des diffamations, soulignant que la liberté d'expression et de presse ne doit en aucun cas justifier ces comportements. Dans son communiqué, le Pastef se déclare « engagé à utiliser toutes les voies de droit » pour faire cesser ces « incivilités et grossièretés » qui, selon lui, sont contraires aux bonnes mœurs et constituent des infractions pénalement réprimées, en vertu du Code pénal, du Code de la presse et des Cahiers de charges des entreprises de presse.
Le communiqué insiste sur un point essentiel : bien que la liberté de la presse et d'expression soit un droit fondamental, l'insulte, la diffamation et l'injure restent des infractions sévèrement punies par la loi. Selon le Pastef, « le droit à l'information, en tant que norme à valeur constitutionnelle, ne saurait être un prétexte pour tolérer de telles dérives ».
Dans sa déclaration, le Pastef dénonce également l’attitude de certaines émissions télévisées et de certains chroniqueurs qui, sous couvert de leurs statuts, se livrent à des attaques verbales violentes, parfois à caractère insultant, visant à diffamer les institutions et les dépositaires du pouvoir politique. Le parti a attiré l’attention sur l’utilisation abusive du temps d’antenne sur les services publics d'information pour des fins politiques. Ce qui constitue, selon lui, un détournement inacceptable des outils d’information.
Le communiqué fait également état d’une inquiétude grandissante : « ces injures publiques, proférées et tolérées par le silence complice de certaines rédactions, soulèvent des interrogations légitimes sur une éventuelle connivence entre certains médias et ces chroniqueurs-insulteurs ». Pastef appelle ainsi à une prise de responsabilité de la part des médias, qui, selon lui, ont un rôle crucial à jouer dans le respect des principes d’éthique et de déontologie.
Pour affirmer son point de vue, le Pastef rappelle l’article 10 de la Constitution, qui garantit à chacun le droit d’exprimer et de diffuser librement ses opinions, mais à condition que cet exercice ne porte pas atteinte à l’honneur et à la considération d’autrui, ni à l’ordre public. Ainsi, le parti réitère sa position en faveur de la liberté d’expression, tout en insistant sur la nécessité de respecter les limites imposées par la loi et la Constitution, notamment lorsqu'il s'agit de ne pas nuire à l'intégrité morale des individus et des institutions.
Enfin, le parti Pastef Les Patriotes se fait le porte-voix de l’urgence de réguler les dérives qui minent la presse et la liberté d’expression. Le communiqué met en relief une problématique sensible pour le bon fonctionnement des institutions démocratiques, tout en appelant à une régulation stricte des médias pour garantir un équilibre entre liberté de la presse et respect des normes éthiques et légales.
Le communiqué insiste sur un point essentiel : bien que la liberté de la presse et d'expression soit un droit fondamental, l'insulte, la diffamation et l'injure restent des infractions sévèrement punies par la loi. Selon le Pastef, « le droit à l'information, en tant que norme à valeur constitutionnelle, ne saurait être un prétexte pour tolérer de telles dérives ».
Dans sa déclaration, le Pastef dénonce également l’attitude de certaines émissions télévisées et de certains chroniqueurs qui, sous couvert de leurs statuts, se livrent à des attaques verbales violentes, parfois à caractère insultant, visant à diffamer les institutions et les dépositaires du pouvoir politique. Le parti a attiré l’attention sur l’utilisation abusive du temps d’antenne sur les services publics d'information pour des fins politiques. Ce qui constitue, selon lui, un détournement inacceptable des outils d’information.
Le communiqué fait également état d’une inquiétude grandissante : « ces injures publiques, proférées et tolérées par le silence complice de certaines rédactions, soulèvent des interrogations légitimes sur une éventuelle connivence entre certains médias et ces chroniqueurs-insulteurs ». Pastef appelle ainsi à une prise de responsabilité de la part des médias, qui, selon lui, ont un rôle crucial à jouer dans le respect des principes d’éthique et de déontologie.
Pour affirmer son point de vue, le Pastef rappelle l’article 10 de la Constitution, qui garantit à chacun le droit d’exprimer et de diffuser librement ses opinions, mais à condition que cet exercice ne porte pas atteinte à l’honneur et à la considération d’autrui, ni à l’ordre public. Ainsi, le parti réitère sa position en faveur de la liberté d’expression, tout en insistant sur la nécessité de respecter les limites imposées par la loi et la Constitution, notamment lorsqu'il s'agit de ne pas nuire à l'intégrité morale des individus et des institutions.
Enfin, le parti Pastef Les Patriotes se fait le porte-voix de l’urgence de réguler les dérives qui minent la presse et la liberté d’expression. Le communiqué met en relief une problématique sensible pour le bon fonctionnement des institutions démocratiques, tout en appelant à une régulation stricte des médias pour garantir un équilibre entre liberté de la presse et respect des normes éthiques et légales.
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