L’Association pour la protection des droits humains (APDH) a réagi suite à la liberté provisoire de Nabou Leye, l'une des personnes mises en cause dans l'affaire du double meurtre de Aziz Dabala, et du jeune Boubacar Gano, alias Waly.
La danseuse avait été placée sous mandat de dépôt pour complicité dans cette affaire qui a secoué l'opinion publique.
Dans un communiqué, l’APDH « sollicite des éclaircissements de la part de l'accusation qui l'avait mis sous mandat de dépôt pour complicité des chefs d'accusation ».
L’association s’interroge notamment sur le fait que cette libération serait intervenue sans qu’aucun acte de procédure n’ait été entrepris depuis le début de l’instruction.
Selon l’avocat des victimes, « cette libération provisoire est intervenue sans aucun acte de procédure posé depuis le début de l'instruction ».
En dépit du caractère confidentiel de l’instruction, tel que prévu par l’article 11 du Code de Procédure Pénale, l’APDH estime que « le droit à l'information comme un droit universel et l'organisation de points de presse et les reconstitutions des faits dans certains dossiers criminels, attribue cette disposition un caractère supplétif ».
Dans le souci de préserver les droits et la dignité des victimes et les familles éplorées et pour le maintien de la confiance de la population envers la justice, l’APDH exige la « lumière sur cette affaire ».
L’Association pour la protection des droits humains sollicite l’intervention du Procureur de la République et du ministre de la Justice.
La danseuse avait été placée sous mandat de dépôt pour complicité dans cette affaire qui a secoué l'opinion publique.
Dans un communiqué, l’APDH « sollicite des éclaircissements de la part de l'accusation qui l'avait mis sous mandat de dépôt pour complicité des chefs d'accusation ».
L’association s’interroge notamment sur le fait que cette libération serait intervenue sans qu’aucun acte de procédure n’ait été entrepris depuis le début de l’instruction.
Selon l’avocat des victimes, « cette libération provisoire est intervenue sans aucun acte de procédure posé depuis le début de l'instruction ».
En dépit du caractère confidentiel de l’instruction, tel que prévu par l’article 11 du Code de Procédure Pénale, l’APDH estime que « le droit à l'information comme un droit universel et l'organisation de points de presse et les reconstitutions des faits dans certains dossiers criminels, attribue cette disposition un caractère supplétif ».
Dans le souci de préserver les droits et la dignité des victimes et les familles éplorées et pour le maintien de la confiance de la population envers la justice, l’APDH exige la « lumière sur cette affaire ».
L’Association pour la protection des droits humains sollicite l’intervention du Procureur de la République et du ministre de la Justice.
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