Même si pour le marabout politique, « chacun d’entre nous peut apprécier d’une manière ou d’une autre, la manière d’être de Mouamar Khadafi, la longévité de son règne absolu et sans partage sur les destinées de la Libye depuis 1969 », cela n’est pas « une raison suffisante pour que des forces étrangères, soutenant une soi-disante rébellion, fassent régner la loi de la terreur, de la destruction, de la tragédie humanitaire au détriment de la voie du dialogue et des négociations conformément aux idéaux de paix, de stabilité, et de non violence qui doivent régir le monde ».
Dans une contribution où il se présente comme « l’Ambassadeur International de la Paix, Maître créateur de l’Orchestre Philharmonique pour la paix mondiale », Serigne Modou Kara demande « l’arrêt des hostilités et l’ouverture des discussions pour mettre fin sans délai, à la souffrance humaine, à la mort des populations innocentes au déplacement forcé de milliers de personne, à la destruction d’un pays qui s’est érigé à force de labeur, de larmes et de sang ».
Pour Kara la résistance du régime de Khadafi s’explique par le fait que « cette rébellion ne bénéficie pas de l’adhésion populaire ni de la confiance du peuple libyen », voilà pourquoi, « Khadafi continue à résister malgré les soubresauts et à bénéficier d’un très large soutien des populations alors que les régimes similaires Tunisien et Egyptien ont été balayés en moins de trois semaines par la Révolution du Jasmin sans aucune implication de forces militaires extérieures ».
D’ailleurs il fait noter qu « ’il est contradictoire, dans notre monde contemporain, de condamner les coups d’état et l’utilisation de la force pour accéder au pouvoir et par ailleurs encourager les pratiques barbares actuellement en cours en Libye ».
« Pour quand le coup d’arrêt à une politique de deux poids deux mesures afin qu’en ce 3ème millénaire, la communauté internationale arrive à faire prévaloir les vertus de la paix, du dialogue et de la justice sur la loi de la terreur ? », se demande Serigne Modou Kara.
Dans une contribution où il se présente comme « l’Ambassadeur International de la Paix, Maître créateur de l’Orchestre Philharmonique pour la paix mondiale », Serigne Modou Kara demande « l’arrêt des hostilités et l’ouverture des discussions pour mettre fin sans délai, à la souffrance humaine, à la mort des populations innocentes au déplacement forcé de milliers de personne, à la destruction d’un pays qui s’est érigé à force de labeur, de larmes et de sang ».
Pour Kara la résistance du régime de Khadafi s’explique par le fait que « cette rébellion ne bénéficie pas de l’adhésion populaire ni de la confiance du peuple libyen », voilà pourquoi, « Khadafi continue à résister malgré les soubresauts et à bénéficier d’un très large soutien des populations alors que les régimes similaires Tunisien et Egyptien ont été balayés en moins de trois semaines par la Révolution du Jasmin sans aucune implication de forces militaires extérieures ».
D’ailleurs il fait noter qu « ’il est contradictoire, dans notre monde contemporain, de condamner les coups d’état et l’utilisation de la force pour accéder au pouvoir et par ailleurs encourager les pratiques barbares actuellement en cours en Libye ».
« Pour quand le coup d’arrêt à une politique de deux poids deux mesures afin qu’en ce 3ème millénaire, la communauté internationale arrive à faire prévaloir les vertus de la paix, du dialogue et de la justice sur la loi de la terreur ? », se demande Serigne Modou Kara.