C'est à la recherche de la poursuite, voir même de l'augmentation de ce soutien de son allié égyptien que le maréchal Khalifa Haftar est allé au Caire.
En effet, son offensive vers Tripoli piétine. Depuis le 4 avril, il peine toujours à entrer dans la capitale. Le maréchal libyen vise à déloger le gouvernement d'union nationale et à en finir avec les milices qui lui sont fidèles.
Mais ces milices menacent d'ouvrir d'autres fronts, dans le pays, contre les forces venues de l'Est libyen. Ces milices sont composées selon Khalifa Haftar, « de terroristes et de mercenaires » et sont responsables, du chaos dans lequel la Libye est plongée depuis des années.
L'Egypte dit soutenir le maréchal, pour la lutte qu'il mène « contre les terroristes et les groupes extrémistes ». Le Caire considère que sa sécurité dépend de la sécurité et de la stabilité en Libye.
Toujours selon le communiqué, le président égyptien souligne : « Le rôle de l'armée nationale libyenne (ANL), dans la création d'un climat propice aux solutions politiques ».
En effet, son offensive vers Tripoli piétine. Depuis le 4 avril, il peine toujours à entrer dans la capitale. Le maréchal libyen vise à déloger le gouvernement d'union nationale et à en finir avec les milices qui lui sont fidèles.
Mais ces milices menacent d'ouvrir d'autres fronts, dans le pays, contre les forces venues de l'Est libyen. Ces milices sont composées selon Khalifa Haftar, « de terroristes et de mercenaires » et sont responsables, du chaos dans lequel la Libye est plongée depuis des années.
L'Egypte dit soutenir le maréchal, pour la lutte qu'il mène « contre les terroristes et les groupes extrémistes ». Le Caire considère que sa sécurité dépend de la sécurité et de la stabilité en Libye.
Toujours selon le communiqué, le président égyptien souligne : « Le rôle de l'armée nationale libyenne (ANL), dans la création d'un climat propice aux solutions politiques ».