Selon le gouvernement libyen de Tripoli, les tâches de l'Administration générale pour la protection de la moralité publique se résument à contrôler les délits et les violations commis dans l'espace public relatifs à la législation.
Cette administration vise à lutter contre les actions « incompatibles avec les tendances de la société » et qui pourraient « offenser ses valeurs, sa morale et ses principes », selon le texte.
Les citoyens sont également encouragés à dénoncer des personnes auprès de cette administration qui pourrait ensuite enquêter et collecter des preuves.
Cette nouvelle administration est une sorte de version libyenne de l'appareil de promotion de la vertu et de la prévention du vice déployée dans les régimes religieux.
Les observateurs et les ONG des droits de l'homme craignent que ces nouvelles décisions ne se transforment en mécanismes visant à porter atteinte aux libertés et à régler des comptes politiques, sociaux et culturels, ainsi qu'à museler les militants des droits de l'homme et à empêcher les femmes libyennes d'exercer ou de défendre leurs droits.
Human Rights Watch a déclaré mercredi 13 novembre que le gouvernement et la communauté internationale ne devraient tolérer aucune mesure susceptible de violer les droits fondamentaux des femmes. Au contraire, ils doivent respecter et protéger les droits humains et la dignité de tous en Libye.
Les détracteurs du Premier ministre Dbeibah l'accusent de se ranger aux côtés des islamistes intégristes pour gagner leur sympathie et continuer ainsi à s'imposer au pouvoir à Tripoli.
Cette administration vise à lutter contre les actions « incompatibles avec les tendances de la société » et qui pourraient « offenser ses valeurs, sa morale et ses principes », selon le texte.
Les citoyens sont également encouragés à dénoncer des personnes auprès de cette administration qui pourrait ensuite enquêter et collecter des preuves.
Cette nouvelle administration est une sorte de version libyenne de l'appareil de promotion de la vertu et de la prévention du vice déployée dans les régimes religieux.
Les observateurs et les ONG des droits de l'homme craignent que ces nouvelles décisions ne se transforment en mécanismes visant à porter atteinte aux libertés et à régler des comptes politiques, sociaux et culturels, ainsi qu'à museler les militants des droits de l'homme et à empêcher les femmes libyennes d'exercer ou de défendre leurs droits.
Human Rights Watch a déclaré mercredi 13 novembre que le gouvernement et la communauté internationale ne devraient tolérer aucune mesure susceptible de violer les droits fondamentaux des femmes. Au contraire, ils doivent respecter et protéger les droits humains et la dignité de tous en Libye.
Les détracteurs du Premier ministre Dbeibah l'accusent de se ranger aux côtés des islamistes intégristes pour gagner leur sympathie et continuer ainsi à s'imposer au pouvoir à Tripoli.