
Selon la loi électorale en vigueur en Libye, une candidature ne peut être acceptée que si le candidat a quitté les fonctions officielles qu'il occupait trois mois avant le scrutin. Premier ministre par intérim en exercice, Abdelhamid Dbeibah n'aurait pas pu selon ce texte, se porter candidat.
La motion de censure du 21 septembre
Mais le chef du gouvernement a fait l'objet d'une motion de censure le 21 septembre dernier, votée par le Parlement de Tobrouk. Même s'il n'a pas quitté ses fonctions depuis, Dbeibah compte bien s'appuyer sur cette motion pour faire valoir son droit d'être candidat au yeux de la loi.
Tous les acteurs sont désormais réunis sur la ligne de départ, avec notamment à l'est Khalifa Haftar ex-chef de l'armée nationale libyenne, le chef du parlement Aguila Saleh et le fils de l'ancien dirigeant Saif al-Islam Kadhafi et à l'ouest Fatih Benchaga ex-ministre de l'intérieur et donc Abdelhamid Dbeibah.
Les affrontements ont cessé, les tensions remontent
Les deux camps ont cessé les affrontements armés il y a un peu plus d'un an mais les tensions remontent à l'approche de l'échéance présidentielle. La commission électorale doit encore valider les candidatures qui lui ont été présentées et au centre des débats à venir, la modification ou non de la loi électorale.
La motion de censure du 21 septembre
Mais le chef du gouvernement a fait l'objet d'une motion de censure le 21 septembre dernier, votée par le Parlement de Tobrouk. Même s'il n'a pas quitté ses fonctions depuis, Dbeibah compte bien s'appuyer sur cette motion pour faire valoir son droit d'être candidat au yeux de la loi.
Tous les acteurs sont désormais réunis sur la ligne de départ, avec notamment à l'est Khalifa Haftar ex-chef de l'armée nationale libyenne, le chef du parlement Aguila Saleh et le fils de l'ancien dirigeant Saif al-Islam Kadhafi et à l'ouest Fatih Benchaga ex-ministre de l'intérieur et donc Abdelhamid Dbeibah.
Les affrontements ont cessé, les tensions remontent
Les deux camps ont cessé les affrontements armés il y a un peu plus d'un an mais les tensions remontent à l'approche de l'échéance présidentielle. La commission électorale doit encore valider les candidatures qui lui ont été présentées et au centre des débats à venir, la modification ou non de la loi électorale.
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