En Libye, suite à la polémique, le communiqué du procureur général a été rectifié et le nom du ministre accusé de corruption a été cité. Il s’est avéré qu’il s’agissait de Khalifa Abdel-Sadek, chargé provisoirement du portefeuille du pétrole par le Premier ministre Dbeibah.
Mohamad Aoun, le ministre légal qui a été rétabli dans ses fonctions en mai dernier par l’autorité de contrôle administratif, qui supervise le travail des ministres, a publié sur X : « Je travaille dans le secteur du pétrole depuis 50 ans et je n’ai jamais enfreint la loi. »
Khalifa Abdel-Sadek est accusé de corruption financière pour le compte d’une société étrangère active dans le secteur pétrolier, à hauteur de près d’un demi-million de dollars. Il a enfreint, toujours selon le communiqué, un accord signé entre cette société et la Compagnie nationale du pétrole (NOC).
Le journal économique libyen Sada croit savoir qu’il s’agit d’arrangements financiers avec la société allemande Wintershall spécialisée dans le domaine de l’énergie et qui devait réaliser des projets en Libye depuis 2010.
Mohamad Aoun, le ministre légal qui a été rétabli dans ses fonctions en mai dernier par l’autorité de contrôle administratif, qui supervise le travail des ministres, a publié sur X : « Je travaille dans le secteur du pétrole depuis 50 ans et je n’ai jamais enfreint la loi. »
Khalifa Abdel-Sadek est accusé de corruption financière pour le compte d’une société étrangère active dans le secteur pétrolier, à hauteur de près d’un demi-million de dollars. Il a enfreint, toujours selon le communiqué, un accord signé entre cette société et la Compagnie nationale du pétrole (NOC).
Le journal économique libyen Sada croit savoir qu’il s’agit d’arrangements financiers avec la société allemande Wintershall spécialisée dans le domaine de l’énergie et qui devait réaliser des projets en Libye depuis 2010.