Le Bureau Exécutif National de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CRJS) s’est fendu d'un communiqué pour dénoncer l’injustice subie par deux de ses membres qui travaillaient à Senego.
La Convention qui se dit surprise et étonnée d'apprendre le licenciement de ces journalistes à savoir Thierno Malick Ndiaye et Ankou Mawuegnegan Sodjago par l'entreprise SENEGO Média, dénonce avec la dernière énergie, cette injustice.
D’après la CRJS, cette affaire ne fait que renforcer la conviction de beaucoup de reporters estimant que certains patrons ne sont mus que par leurs intérêts égoïstes. « Thierno et Ankou sont de brillants et engagés confrères, qui se sont toujours évertués à faire leur travail consciencieusement et se sont montrés intraitables partout où la liberté de la presse et la dignité du journaliste étaient mises à l'épreuve. Leur licenciement n'est que la résultante de leur engagement à défendre, contre vents et marées, leurs droits et la dignité des travailleurs de leur entreprise en tant que délégué et Secrétaire Général du syndicat », lit-on sur le communiqué.
Ainsi, déplorant la situation, la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal « s'indigne de ces pratiques moyenâgeuses, qui tendent à dénier tous droits aux travailleurs du secteur de la Presse ». Le bureau exécutif de la CRJS soutenant que « cela ne peut plus continuer », invite « les autorités à prendre toutes les dispositions nécessaires pour mettre un terme à ces pratiques inqualifiables ».
Selon le document, témoignant sa solidarité à ses deux membres et pour les aider à défendre leurs droits, « la CJRS s'engage à mettre à leur disposition un avocat pour poursuivre la procédure judiciaire qu'ils avaient déjà enclenchée pour la défense de leurs droits devant le tribunal du travail ».
Profitant de l'occasion, la CRJS, invite l'État à clarifier définitivement cette question des contrats de prestation de services, une pratique illégale institutionnalisée dans la plupart des rédactions. Un journaliste ou un technicien de presse qui travaille à temps plein et qui est lié à son employeur par un lien de subordination ne saurait être un prestataire de services », s’est indignée la Convention.
La Convention qui se dit surprise et étonnée d'apprendre le licenciement de ces journalistes à savoir Thierno Malick Ndiaye et Ankou Mawuegnegan Sodjago par l'entreprise SENEGO Média, dénonce avec la dernière énergie, cette injustice.
D’après la CRJS, cette affaire ne fait que renforcer la conviction de beaucoup de reporters estimant que certains patrons ne sont mus que par leurs intérêts égoïstes. « Thierno et Ankou sont de brillants et engagés confrères, qui se sont toujours évertués à faire leur travail consciencieusement et se sont montrés intraitables partout où la liberté de la presse et la dignité du journaliste étaient mises à l'épreuve. Leur licenciement n'est que la résultante de leur engagement à défendre, contre vents et marées, leurs droits et la dignité des travailleurs de leur entreprise en tant que délégué et Secrétaire Général du syndicat », lit-on sur le communiqué.
Ainsi, déplorant la situation, la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal « s'indigne de ces pratiques moyenâgeuses, qui tendent à dénier tous droits aux travailleurs du secteur de la Presse ». Le bureau exécutif de la CRJS soutenant que « cela ne peut plus continuer », invite « les autorités à prendre toutes les dispositions nécessaires pour mettre un terme à ces pratiques inqualifiables ».
Selon le document, témoignant sa solidarité à ses deux membres et pour les aider à défendre leurs droits, « la CJRS s'engage à mettre à leur disposition un avocat pour poursuivre la procédure judiciaire qu'ils avaient déjà enclenchée pour la défense de leurs droits devant le tribunal du travail ».
Profitant de l'occasion, la CRJS, invite l'État à clarifier définitivement cette question des contrats de prestation de services, une pratique illégale institutionnalisée dans la plupart des rédactions. Un journaliste ou un technicien de presse qui travaille à temps plein et qui est lié à son employeur par un lien de subordination ne saurait être un prestataire de services », s’est indignée la Convention.
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