Marcelo a été chassé définitivement de l'Olympique lyonnais pour avoir pété dans les vestiaires et en avoir ri avec ses coéquipiers.
C’est une saison très compliquée qui s’achève pour l’OL, irrégulier tout au long du championnat, qui devrait se concrétiser sauf miracle par une place dans le ventre mou de la Ligue 1. Dans son édition du jour, L’Équipe refait le fil de la saison, avec de nombreux détails croustillants, notamment sur la gestion de Juninho. L’occasion d’apprendre que le directeur sportif brésilien avait présenté sa candidature pour s’asseoir sur le banc de l’OL après le départ de Rudi Garcia.
Un licenciement précipité de Marcelo, mais aussi des relations tendues avec Vincent Ponsot, le bras droit de Jean-Michel Aulas. Telle était la réalité du quotidien de Juninho. « Je ne t’aime pas, et toi non plus, mais on doit travailler ensemble », a également déclaré le Brésilien au dirigeant lyonnais lors d’une réunion à trois avec Jean-Michel Aulas. Lequel n’a jamais reçu les excuses demandées par mail le lendemain.
Aulas a exigé des excuses
Juninho est donc resté un leader, devant gérer des cas épineux. Notamment celui de Marcelo, le défenseur brésilien aujourd’hui aux Girondins mais d’abord licencié à l’OL en début de saison. Et le quotidien révèle la folle raison de son licenciement pour comportement inapproprié après la défaite contre Angers (0-3) le 15 août dernier. « Le Brésilien a des flatulences dans le vestiaire, il rit avec les autres, et Juninho, qui n’est pas particulièrement proche de Marcelo, sort de ses gonds ». Un licenciement précipité de Marcelo, mais aussi des relations tendues avec Vincent Ponsot, le bras droit de Jean-Michel Aulas. Telle était la réalité du quotidien de Juninho. « Je ne t’aime pas, et toi non plus, mais on doit travailler ensemble », a également déclaré le Brésilien au dirigeant lyonnais lors d’une réunion à trois avec Jean-Michel Aulas. Lequel n’a jamais reçu les excuses demandées par mail le lendemain.