Contraint au nul (2-2) devant l'AC Milan dans son antre du Camp Nou lors de la phase de poules, le FC Barcelone ne pourra se contenter d'un tel score ce mardi, s'il souhaite accéder aux demi-finales de la Ligue des champions. Tenus en échec (0-0) à San Siro à l'aller, les Catalans ne possèdent qu'une très légère marge de manoeuvre après leur déplacement en Lombardie, la semaine passée. «C'est le match le plus important de l'année et en même temps le plus beau», a d'ailleurs estimé Pep Guardiola, pour qui la C1 est clairement l'objectif prioritaire cette saison.
Une cinquième d'affilée comme le Real ?
Distancé en Championnat, à six longueurs du Real Madrid, le Barça ne peut se permettre une fausse note sur la scène européenne. D'autant plus qu'en cas de qualification, le tenant du titre se hisserait pour la cinquième fois d'affilée en demi-finale de l'épreuve. Un exploit qu'aucune équipe n'a réalisé depuis le... Real Madrid, entre 1956 et 1960 ! Mais pour déjouer les plans de blaugrana invaincus chez eux en Coupe d'Europe depuis 2009, l'entraîneur milanais Massimiliano Allegri entend bien rester fidèle à une formule qui avait parfaitement réussi à son équipe à l'aller.
A savoir défendre bas, ne pas se laisser aspirer, et jouer les contres «à la vie, à la mort». «Ce sera une bataille très difficile, note le technicien transalpin. Nous n'avons pas besoin de motivation supplémentaire. Nous devrons jouer à notre tout meilleur niveau.» Et surtout montrer un tout autre visage que lors de son dernier déplacement en Ligue des champions, conclu par une cuisante défaite sur la pelouse d'Arsenal (0-3) !
Avec France football
Une cinquième d'affilée comme le Real ?
Distancé en Championnat, à six longueurs du Real Madrid, le Barça ne peut se permettre une fausse note sur la scène européenne. D'autant plus qu'en cas de qualification, le tenant du titre se hisserait pour la cinquième fois d'affilée en demi-finale de l'épreuve. Un exploit qu'aucune équipe n'a réalisé depuis le... Real Madrid, entre 1956 et 1960 ! Mais pour déjouer les plans de blaugrana invaincus chez eux en Coupe d'Europe depuis 2009, l'entraîneur milanais Massimiliano Allegri entend bien rester fidèle à une formule qui avait parfaitement réussi à son équipe à l'aller.
A savoir défendre bas, ne pas se laisser aspirer, et jouer les contres «à la vie, à la mort». «Ce sera une bataille très difficile, note le technicien transalpin. Nous n'avons pas besoin de motivation supplémentaire. Nous devrons jouer à notre tout meilleur niveau.» Et surtout montrer un tout autre visage que lors de son dernier déplacement en Ligue des champions, conclu par une cuisante défaite sur la pelouse d'Arsenal (0-3) !
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