Le bras de fer entre l'Association de la collectivité Léboue de Ouakam et Jaraaf Youssou Ndoye n’est pas encore à son épilogue, car aucune partie ne veut lâcher du lest. Les deux parties, qui se disputent la paternité du titre foncier n°5007/DG devenu 1751/NGA, sont convoquées demain, jeudi, par la Cour suprême sur le recours, cette fois, de la collectivité Léboue. En appel, Jaraaf Youssou Ndoye avait gagné, ayant été blanchi par la Cour après une condamnation en première instance.
La haute juridiction a ainsi été saisie par une requête aux fins de pourvoi, déposée par l'Association de la communauté léboue de Ouakam, qui n'est pas d'accord avec l'arrêt de la Cour d'appel. Depuis fort longtemps, les deux parties se disputent le titre foncier n°5007/DG devenu 1751/NGA.
Selon les jeunes de Ouakam, réunis autour d'une association, le site est un bien commun et environ un millier de propriétaires attendent d'acquérir leur bien. Or, selon eux, Jaraaf Youssou Ndoye, sans aucune autorisation dûment signée, s'est permis de délivrer des permis d'occuper alors qu'il n'en a pas le droit, et il a attendu le décès de Ndiogou Ndoye pour le faire.
À les en croire, il y a un protocole qui nécessite trois signatures pour tout acte. Protocole que Jaraaf Youssou Ndoye semble ignorer en signant seul les permis d'occuper. D'où l'accusation de faux. Des accusations, bien entendu, niées avec véhémence par Jaraaf Youssou Ndoye.
Pour rappel, les infractions de "faux et usage de faux en écriture privée", "escroquerie au jugement" et "escroquerie au service" avaient été retenues contre Jaraaf Youssou Ndoye par le juge de première instance, qui l'avait condamné à trois mois avec sursis et à payer trois millions de francs pour la réparation du préjudice causé.
La haute juridiction a ainsi été saisie par une requête aux fins de pourvoi, déposée par l'Association de la communauté léboue de Ouakam, qui n'est pas d'accord avec l'arrêt de la Cour d'appel. Depuis fort longtemps, les deux parties se disputent le titre foncier n°5007/DG devenu 1751/NGA.
Selon les jeunes de Ouakam, réunis autour d'une association, le site est un bien commun et environ un millier de propriétaires attendent d'acquérir leur bien. Or, selon eux, Jaraaf Youssou Ndoye, sans aucune autorisation dûment signée, s'est permis de délivrer des permis d'occuper alors qu'il n'en a pas le droit, et il a attendu le décès de Ndiogou Ndoye pour le faire.
À les en croire, il y a un protocole qui nécessite trois signatures pour tout acte. Protocole que Jaraaf Youssou Ndoye semble ignorer en signant seul les permis d'occuper. D'où l'accusation de faux. Des accusations, bien entendu, niées avec véhémence par Jaraaf Youssou Ndoye.
Pour rappel, les infractions de "faux et usage de faux en écriture privée", "escroquerie au jugement" et "escroquerie au service" avaient été retenues contre Jaraaf Youssou Ndoye par le juge de première instance, qui l'avait condamné à trois mois avec sursis et à payer trois millions de francs pour la réparation du préjudice causé.
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