Le Collectif des enseignants impactés de Tivaouane Peulh (commune située à une trentaine de kilomètres de Dakar) est résolu à récupérer leurs terrains. Il accuse le promoteur Elhadj Dia, alias Ousso, de bradage foncier. Lors d'une Assemblée Générale, les membres ont exprimé leur frustration face aux lenteurs judiciaires, après avoir exploré toutes les voies légales sans succès.
« Nous sommes là depuis 2010. Il y a un bandit qui était un voisin à nous de 2010 à 2019, avec qui nous entretenons de bonnes relations et qui, d'un coup, s'est retourné pour s'accaparer de nos maisons », a d’emblée déclaré Mbaye Ba, président dudit collectif.
« Nous avons porté plainte un peu partout et jusqu'à présent. Des plaintes individuelles, même aussi une plainte collective que nous avons déposée au niveau du procureur de Rufisque, c'était depuis le 31 mai. Et jusqu'à présent, toutes ces plaintes sont sans suite », a-t-il ajouté.
Poursuivant, M. Ba dénonce un acte qu'ils jugent inacceptable. Selon lui, il n'y a pas de transmission au niveau du tribunal.
« Il n’y a pas d'enquête sérieuse et nous, ce que nous réclamons, c’est des enquêtes sérieuses sur le site pour voir, qui est qui, qui a occupé quoi. Pourquoi il n’y a pas d'avancement, c'est le manque de sincérité. Les gens ne sont pas sincères. Aussi bien ceux qui ont acheté les terrains, que les autorités. Je pense que notre adversaire son seul espoir, est que nous nous décourageons et que nous lui laissons le terrain. Et là, c'est peine perdue », a dénoncé le président du collectif.
En outre, Mbaye Ba et ses camarades précisent que le problème est dû à l’extension de Tivaouane Peulh.
« C'est une cité qui est déjà habitée. Plus de 1200 maisons, mais là où ce bandit foncier est en train de créer des problèmes, c'est au niveau de l'extension de Tivaouane Peulh. Et parce que nous dans l'extension, nous occupons une infime partie…. Nous savons qu'il a des complices. Le maire qui a pris les engagements de régler ce problème-là en une semaine, nous a fait cotiser à chacun 250.000 francs. Nous avons cotisé et ça, c'était depuis des années 2019-2020. Et jusqu'à présent, il n'a rien réglé », ont-ils soutenu.
Mbaye Ba dénonce l’accaparement de leur terre. A l’en croire, l’état des lieux a été fait depuis 2019. « Normalement, ça allait être le règlement définitif du problèm. Il y a un bandit qui est sorti de nulle part, qui est venu s'accaparer de nos terres ».
« Nous sommes là depuis 2010. Il y a un bandit qui était un voisin à nous de 2010 à 2019, avec qui nous entretenons de bonnes relations et qui, d'un coup, s'est retourné pour s'accaparer de nos maisons », a d’emblée déclaré Mbaye Ba, président dudit collectif.
« Nous avons porté plainte un peu partout et jusqu'à présent. Des plaintes individuelles, même aussi une plainte collective que nous avons déposée au niveau du procureur de Rufisque, c'était depuis le 31 mai. Et jusqu'à présent, toutes ces plaintes sont sans suite », a-t-il ajouté.
Poursuivant, M. Ba dénonce un acte qu'ils jugent inacceptable. Selon lui, il n'y a pas de transmission au niveau du tribunal.
« Il n’y a pas d'enquête sérieuse et nous, ce que nous réclamons, c’est des enquêtes sérieuses sur le site pour voir, qui est qui, qui a occupé quoi. Pourquoi il n’y a pas d'avancement, c'est le manque de sincérité. Les gens ne sont pas sincères. Aussi bien ceux qui ont acheté les terrains, que les autorités. Je pense que notre adversaire son seul espoir, est que nous nous décourageons et que nous lui laissons le terrain. Et là, c'est peine perdue », a dénoncé le président du collectif.
"Le problème se situe au niveau de l’extension de Tivaouane Peulh"
En outre, Mbaye Ba et ses camarades précisent que le problème est dû à l’extension de Tivaouane Peulh.
« C'est une cité qui est déjà habitée. Plus de 1200 maisons, mais là où ce bandit foncier est en train de créer des problèmes, c'est au niveau de l'extension de Tivaouane Peulh. Et parce que nous dans l'extension, nous occupons une infime partie…. Nous savons qu'il a des complices. Le maire qui a pris les engagements de régler ce problème-là en une semaine, nous a fait cotiser à chacun 250.000 francs. Nous avons cotisé et ça, c'était depuis des années 2019-2020. Et jusqu'à présent, il n'a rien réglé », ont-ils soutenu.
Mbaye Ba dénonce l’accaparement de leur terre. A l’en croire, l’état des lieux a été fait depuis 2019. « Normalement, ça allait être le règlement définitif du problèm. Il y a un bandit qui est sorti de nulle part, qui est venu s'accaparer de nos terres ».
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