L’homme d’affaire Bara Tall est accusé par les travailleurs de l’hôtel Baobab de Somone d’avoir occupé un domaine public maritime. Pour cause, informent-ils, sa maison en construction surplombe la piscine de l’hôtel et fait fuir les touristes.
Mamadou Diouf, secrétaire général de l’Union départementale des syndicats affiliés du département de Mbour de déclarer : «en rapport avec la décision de Bara Tall nous allons devoir perdre l’hôtel Baobab si nous baissons les bras, pour ne pas accepter que les employés qui sont au nombre de 405 emplois directs, 300 indirects, et d’autres bouches qui sont nourries avec les travailleurs qui sont là».
Les travailleurs qui sont descendus dans la rue, ont fustigé la construction de la maison de l’homme d’affaire considérée comme «une menace » pour le tourisme dans cette localité.
«Les touristes ne veulent plus aller à la piscine. Même s’ils vont à la piscine, ils ne peuvent pas se reposer avec le bruit du chantier. Les clients n’en peuvent plus», pestent-ils. Ils prévoient une marche dans les prochains jours si les autorités ne réagissent pas.
Joint au téléphone par la Rfm, l’homme d’affaire qui estime n’avoir pas de mot à dire sur cette affaire, informe toutefois qu’il est dans «la légalité». Il renseigne qu’il détient même une autorisation de construire.
Mamadou Diouf, secrétaire général de l’Union départementale des syndicats affiliés du département de Mbour de déclarer : «en rapport avec la décision de Bara Tall nous allons devoir perdre l’hôtel Baobab si nous baissons les bras, pour ne pas accepter que les employés qui sont au nombre de 405 emplois directs, 300 indirects, et d’autres bouches qui sont nourries avec les travailleurs qui sont là».
Les travailleurs qui sont descendus dans la rue, ont fustigé la construction de la maison de l’homme d’affaire considérée comme «une menace » pour le tourisme dans cette localité.
«Les touristes ne veulent plus aller à la piscine. Même s’ils vont à la piscine, ils ne peuvent pas se reposer avec le bruit du chantier. Les clients n’en peuvent plus», pestent-ils. Ils prévoient une marche dans les prochains jours si les autorités ne réagissent pas.
Joint au téléphone par la Rfm, l’homme d’affaire qui estime n’avoir pas de mot à dire sur cette affaire, informe toutefois qu’il est dans «la légalité». Il renseigne qu’il détient même une autorisation de construire.
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