Le 21 mars 2014 son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal a pris le décret n°2014-330 portant convocation du corps électoral sénégalais pour les élections départementales et municipales du 29 juin 2014.
Seulement, ce décret crée une discrimination flagrante à l’encontre des corps militaires et paramilitaires dont le droit de vote, certes reconnu, est loin d’être bien compris et n’est toujours pas, à ce jour, exercé de manière convenable pour des raisons difficiles à comprendre. En effet à l’article 01, alinéa 02 dudit décret, il est bien précisé que «les électeurs militaires et paramilitaires non inscrits sur les listes électorales des collectivités locales du pays ne sont pas concernés.»
En fait aucun membre de ces corps n’est autorisé à s’inscrire sur les listes électorales et aucune commission technique n’a été créée pour vraiment donner corps à la réforme visée par la loi n°2006-20 du 30 juin 2006 relative au vote des corps militaires et paramilitaires.
Nous dénonçons l’exclusion des paramilitaires de ces élections locales et la restriction de notre droit de vote. Nous invitons le régime actuel à parachever le processus de démocratisation des corps paramilitaire en cours.
Le Sénégal, devenu sans conteste une démocratie majeure ne peut continuer de s’accommoder de la négation des droits et libertés des membres de ces corps dont le sens des responsabilités et la culture républicaine qui les caractérisent devraient convaincre les autorités politiques à franchir un pas supplémentaire dans la citoyenneté.
Comme d’ailleurs rappelé par l’exposé des motifs de la loi autorisant les militaires et paramilitaires à exercer leur droit de vote, « la reconnaissance des droits sociaux, collectifs et politiques correspond à l’esprit de la Constitution du 22 janvier 2001 qui a consacré des progrès significatifs en matière de citoyenneté de droits et de libertés fondamentaux».
Fort de ces motifs nous réitérons notre appel à l’unité et invitons nos camarades de ne pas se laisser divertir par des sujets de prestige autour, notamment, de droits de propriété sur des attributs ou encore sur des « étoiles célestes », et à s’investir pleinement sur les vrais combats républicains…ceux de la démocratie et du développement de notre pays.
Seulement, ce décret crée une discrimination flagrante à l’encontre des corps militaires et paramilitaires dont le droit de vote, certes reconnu, est loin d’être bien compris et n’est toujours pas, à ce jour, exercé de manière convenable pour des raisons difficiles à comprendre. En effet à l’article 01, alinéa 02 dudit décret, il est bien précisé que «les électeurs militaires et paramilitaires non inscrits sur les listes électorales des collectivités locales du pays ne sont pas concernés.»
En fait aucun membre de ces corps n’est autorisé à s’inscrire sur les listes électorales et aucune commission technique n’a été créée pour vraiment donner corps à la réforme visée par la loi n°2006-20 du 30 juin 2006 relative au vote des corps militaires et paramilitaires.
Nous dénonçons l’exclusion des paramilitaires de ces élections locales et la restriction de notre droit de vote. Nous invitons le régime actuel à parachever le processus de démocratisation des corps paramilitaire en cours.
Le Sénégal, devenu sans conteste une démocratie majeure ne peut continuer de s’accommoder de la négation des droits et libertés des membres de ces corps dont le sens des responsabilités et la culture républicaine qui les caractérisent devraient convaincre les autorités politiques à franchir un pas supplémentaire dans la citoyenneté.
Comme d’ailleurs rappelé par l’exposé des motifs de la loi autorisant les militaires et paramilitaires à exercer leur droit de vote, « la reconnaissance des droits sociaux, collectifs et politiques correspond à l’esprit de la Constitution du 22 janvier 2001 qui a consacré des progrès significatifs en matière de citoyenneté de droits et de libertés fondamentaux».
Fort de ces motifs nous réitérons notre appel à l’unité et invitons nos camarades de ne pas se laisser divertir par des sujets de prestige autour, notamment, de droits de propriété sur des attributs ou encore sur des « étoiles célestes », et à s’investir pleinement sur les vrais combats républicains…ceux de la démocratie et du développement de notre pays.