A quelques jours du dépôt des listes, la tension monte. Les états-majors politiques sont en ébullition. On enchaine les réunions et les déclarations de candidature, tant du côté du pouvoir que de l'opposition. Hier- mardi, le Président Macky Sall a reçu nombre de ses plus proches collaborateurs politiques au Palais, nous apprend le journal L'AS dans son édition de ce mercredi.
Le même source d'indiquer que même si rien n'a encore filtré de cette réunion, cela va s'en dire qu'il a été question des investitures sur les listes aux élections territoriales du 23 janvier 2022.
Visiblement, le chef de l'Etat qui interdisait toute liste parallèle va devoir changer de fusil d'épaule avec l'intention prêtée à certains de ses proches, notamment son chef de Cabinet Mame Mbaye Niang et certains alliés (Théodore Monteuil et Ibrahima Abou Nguet qui ont déjà déposé leurs cautions), de ne pas se conformer au mot d'ordre de Benno. Qui plus est, les socialistes, de plus en plus esseulés, semblent se rebiffer et brandissent la menace.
Conséquence: on apprend qu'après la réunion du conseil ce mercredi, le chef de l'Etat va harnacher son cheval politique pour tailler une bavette avec ses alliés et tenter de faire entendre raison à certains de ses poulains aux prétentions démesurées, pour aboutir à des investitures les plus consensuelles possibles.
Le même source d'indiquer que même si rien n'a encore filtré de cette réunion, cela va s'en dire qu'il a été question des investitures sur les listes aux élections territoriales du 23 janvier 2022.
Visiblement, le chef de l'Etat qui interdisait toute liste parallèle va devoir changer de fusil d'épaule avec l'intention prêtée à certains de ses proches, notamment son chef de Cabinet Mame Mbaye Niang et certains alliés (Théodore Monteuil et Ibrahima Abou Nguet qui ont déjà déposé leurs cautions), de ne pas se conformer au mot d'ordre de Benno. Qui plus est, les socialistes, de plus en plus esseulés, semblent se rebiffer et brandissent la menace.
Conséquence: on apprend qu'après la réunion du conseil ce mercredi, le chef de l'Etat va harnacher son cheval politique pour tailler une bavette avec ses alliés et tenter de faire entendre raison à certains de ses poulains aux prétentions démesurées, pour aboutir à des investitures les plus consensuelles possibles.