
Lors de la séance de plénière ce mercredi, la parlementaire de Takku Wallu, Madame Sall, fidèle à sa verve, n’a pas mâché ses mots. Son intervention a jeté un pavé dans la mare, provoquant un véritable remous au sein de l’Assemblée nationale. Elle a fermement dénoncé ce qu'elle considère comme l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques, soulignant le danger que représente, selon elle, la loi interprétative de la loi d'amnistie en cours d'examen.
Madame Sall, ancienne ministre de la Justice, a critiqué vigoureusement la nature de cette loi, qu’elle qualifie de "loi de règlement de comptes". Selon elle, cette législation risque de diviser davantage les Sénégalais plutôt que de favoriser une véritable réconciliation nationale ou de clarifier les tensions politiques qui secouent le pays depuis plusieurs mois. Elle a exprimé ses craintes en affirmant que cette loi ne viserait pas à résoudre les problèmes de fond, mais plutôt à alimenter les fractures au sein de la société sénégalaise.
Pour l'avocate, une telle loi ne pourrait que creuser davantage le fossé entre les différents acteurs politiques, sans réellement contribuer à la paix sociale ou à la justice. En ce sens, son intervention se veut un avertissement contre une instrumentalisation de la loi qui, selon elle, pourrait avoir des conséquences néfastes à long terme pour le pays.
Face aux critiques de ses collègues de la majorité, Madame Sall a réaffirmé sa position sans détour. "Nous n’avons pas peur de la prison", a-t-elle déclaré, insistant sur le fait que "personne n’est plus courageux ou plus patriote qu’un autre". Elle a ainsi tenu à souligner que, quoi qu’il arrive, elle continuerait à défendre ses idées et ses convictions, en toute circonstance.
Madame Sall, ancienne ministre de la Justice, a critiqué vigoureusement la nature de cette loi, qu’elle qualifie de "loi de règlement de comptes". Selon elle, cette législation risque de diviser davantage les Sénégalais plutôt que de favoriser une véritable réconciliation nationale ou de clarifier les tensions politiques qui secouent le pays depuis plusieurs mois. Elle a exprimé ses craintes en affirmant que cette loi ne viserait pas à résoudre les problèmes de fond, mais plutôt à alimenter les fractures au sein de la société sénégalaise.
Pour l'avocate, une telle loi ne pourrait que creuser davantage le fossé entre les différents acteurs politiques, sans réellement contribuer à la paix sociale ou à la justice. En ce sens, son intervention se veut un avertissement contre une instrumentalisation de la loi qui, selon elle, pourrait avoir des conséquences néfastes à long terme pour le pays.
Face aux critiques de ses collègues de la majorité, Madame Sall a réaffirmé sa position sans détour. "Nous n’avons pas peur de la prison", a-t-elle déclaré, insistant sur le fait que "personne n’est plus courageux ou plus patriote qu’un autre". Elle a ainsi tenu à souligner que, quoi qu’il arrive, elle continuerait à défendre ses idées et ses convictions, en toute circonstance.
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