Les Gardiens de la révolution sont catégoriques : il n’y a eu aucune confrontation avec des navires étrangers, y compris britanniques, durant les dernières 24 heures. L’armée d’élite du régime iranien ajoute : « Si nous avions reçu l'ordre d'accomplir une telle mission, on l’aurait fait immédiatement, de manière décisive et rapide. » De leur côté, les responsables à Londres sont tout aussi affirmatifs : la marine iranienne a bel et bien tenté de bloquer le passage d’un pétrolier britannique et il a fallu l’intervention de la Royal Navy pour résoudre le problème.
Les tensions entre Londres et Téhéran ont débuté il y a quelques jours déjà en mer Méditerranée. La marine britannique arraisonne au large de Gibraltar un tanker transportant du pétrole iranien soupçonné de se rendre en Syrie, en violation d’un embargo européen.
Le président de la République islamique Hassan Rohani réagit alors rapidement et avertit : il y aura des conséquences. Washington évoque désormais la possibilité de créer une coalition maritime internationale afin de garantir la libre circulation dans les eaux du Golfe et dans le détroit d’Ormuz, où transite près du quart de la consommation mondiale de brut.
Les tensions entre Londres et Téhéran ont débuté il y a quelques jours déjà en mer Méditerranée. La marine britannique arraisonne au large de Gibraltar un tanker transportant du pétrole iranien soupçonné de se rendre en Syrie, en violation d’un embargo européen.
Le président de la République islamique Hassan Rohani réagit alors rapidement et avertit : il y aura des conséquences. Washington évoque désormais la possibilité de créer une coalition maritime internationale afin de garantir la libre circulation dans les eaux du Golfe et dans le détroit d’Ormuz, où transite près du quart de la consommation mondiale de brut.