Mamadou Mboup, est poursuivi par le tribunal correctionnel de Louga pour tentative de viol sur une mineure de moins de 13 ans. Il a occupé d’une peine d’emprisonnement ferme de 5 ans. Sa victime, toujours sous le choc, traîne comme un boulet, pour le restant de sa vie, son traumatisme. La jeune fille dont les parents ont le courage de porter cette affaire devant la justice, n’est pas la seule victime des chauds lapins sans cœur qui font maintenant légion à Louga.
En attestant les résultats d’une étude rendue ressèment publique par Plan Louga. Dans ce document il est clairement mentionné qu’ «officiellement, 13 filles victimes d’un viol à Louga, dans le courant de l’année 2014, ont été suivies par Plan Louga ».
Cependant, ce chiffre alarmant qui donne froid au dos est loin de refléter la réalité, nous dit « L’Observateur ». « Le phénomène (viol) dépasse l’entendement à Louga. 13 cas répertoriés sont assez révélateurs, car si un cas de viol est arrivé au tribunal, au même moment plus d’une dizaine sont gérés en tout discrétion dans le secret des maisons », rapporte Oumar Ndiaye, chef du service régional de l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo), une structure logée au tribunal régional de la localité.
En attestant les résultats d’une étude rendue ressèment publique par Plan Louga. Dans ce document il est clairement mentionné qu’ «officiellement, 13 filles victimes d’un viol à Louga, dans le courant de l’année 2014, ont été suivies par Plan Louga ».
Cependant, ce chiffre alarmant qui donne froid au dos est loin de refléter la réalité, nous dit « L’Observateur ». « Le phénomène (viol) dépasse l’entendement à Louga. 13 cas répertoriés sont assez révélateurs, car si un cas de viol est arrivé au tribunal, au même moment plus d’une dizaine sont gérés en tout discrétion dans le secret des maisons », rapporte Oumar Ndiaye, chef du service régional de l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo), une structure logée au tribunal régional de la localité.