Une classe de lycéens, qui a succédé à une autre, l’a à nouveau photographiée sous toutes les coutures à l’aide de téléphones portables, puis s’est retirée. Lucy, elle reste là sur son tapis noir, au milieu d’un musée Théodore Monod fraîchement remis à neuf.
Ce squelette est une copie. Sa présence n’en est pas moins émouvante. La petite australopithèque ne mesurait guère plus d’un mètre et elle a dû survivre dans ce qu’était la région Afar de l’Ethiopie, il y a 3 millions 200 000 ans.
Le patriarche de l’humanité a 7 millions d’années
Installé lui aussi dans une vitrine, sur un socle de métal, le patriarche de l’humanité la contemple : il s’appelle Toumaï. L’original a été retrouvé dans le désert du Djourab, au Tchad… Son âge : 7 millions d’années.
« J’ai du respect pour ces petits bouts d’homme, explique Hamady Bocoum, le commissaire de l’exposition. Ils étaient extrêmement fragiles, extrêmement faibles. Ils ont travaillé avec leur cerveau pour survivre… et dominer la nature ».
« L’idée, poursuit Hamady Bocoum, c’était de montrer que l’humanité a commencé en Afrique, et que d’une certaine manière nous sommes tous des Africains. Ca permet de résoudre beaucoup de questions collatérales, dit-il, et c’est bon que les jeunes africains soient fiers de cela ».
Ce squelette est une copie. Sa présence n’en est pas moins émouvante. La petite australopithèque ne mesurait guère plus d’un mètre et elle a dû survivre dans ce qu’était la région Afar de l’Ethiopie, il y a 3 millions 200 000 ans.
Le patriarche de l’humanité a 7 millions d’années
Installé lui aussi dans une vitrine, sur un socle de métal, le patriarche de l’humanité la contemple : il s’appelle Toumaï. L’original a été retrouvé dans le désert du Djourab, au Tchad… Son âge : 7 millions d’années.
« J’ai du respect pour ces petits bouts d’homme, explique Hamady Bocoum, le commissaire de l’exposition. Ils étaient extrêmement fragiles, extrêmement faibles. Ils ont travaillé avec leur cerveau pour survivre… et dominer la nature ».
« L’idée, poursuit Hamady Bocoum, c’était de montrer que l’humanité a commencé en Afrique, et que d’une certaine manière nous sommes tous des Africains. Ca permet de résoudre beaucoup de questions collatérales, dit-il, et c’est bon que les jeunes africains soient fiers de cela ».