Le promoteur Luc Nicolaï a décroché le « jackpot » en réussissant à monter le combat entre Balla Gaye 2 et Modou Lô qui sont incontestablement les espoirs les plus en vue de l’arène sénégalaise. Et ils le doivent aux prouesses techniques qui leur ont permis de se faire un nom dans l’arène, alors qu’ils viennent à peine de démarrer leur carrière. Même si leur palmarès n’égale pas encore celui de Yekini, « le Roi », les deux jeunes champions sont bien cotés à la bourse des valeurs.
Balla Gaye 2, fils de l’ancien champion Double Less, a choisi d’entrer dans l’histoire de la lutte, avec le surnom de l’ancien chef de file du Oualo (Balla Gaye) dont il est l’un des pensionnaires de l’école de lutte qu’il dirige. En l’espace de quelques années, Balla Gaye 2 a prouvé que bon sang ne saurait pas mentir ; ce qui se traduit par des succès dignes du fils d’un père qui a écrit l’une des plus belles pages de l’arène. Les deux revers face à Issa Pouye (tout au début de sa carrière) et Eumeu Sène (la saison dernière) sont les seules tâches sombres dans sa carrière ; sinon une dizaine de succès garnissent son palmarès. Bathie Seras, Issa Pouye, Tyson Junior, Tapha Gueye (le Tigre de Fass)
Modou Lô de l’écurie « Rock Energie » est sorti de « nulle part » pour se faire une place dans l’arène. Mais, en alignant à son tableau de chasse deux pensionnaires de la prestigieuse école de Fass, Balla Diouf et Papa Sow, il a démontré qu’il était à la bonne école. A ce jour, il n’a pas connu la moindre chute dans la dizaine de sorties effectuées dans l’arène.
Avec ces deux « phénomènes » aux prises, les amateurs devraient se régaler dimanche à Demba Diop.
Balla Gaye 2, fils de l’ancien champion Double Less, a choisi d’entrer dans l’histoire de la lutte, avec le surnom de l’ancien chef de file du Oualo (Balla Gaye) dont il est l’un des pensionnaires de l’école de lutte qu’il dirige. En l’espace de quelques années, Balla Gaye 2 a prouvé que bon sang ne saurait pas mentir ; ce qui se traduit par des succès dignes du fils d’un père qui a écrit l’une des plus belles pages de l’arène. Les deux revers face à Issa Pouye (tout au début de sa carrière) et Eumeu Sène (la saison dernière) sont les seules tâches sombres dans sa carrière ; sinon une dizaine de succès garnissent son palmarès. Bathie Seras, Issa Pouye, Tyson Junior, Tapha Gueye (le Tigre de Fass)
Modou Lô de l’écurie « Rock Energie » est sorti de « nulle part » pour se faire une place dans l’arène. Mais, en alignant à son tableau de chasse deux pensionnaires de la prestigieuse école de Fass, Balla Diouf et Papa Sow, il a démontré qu’il était à la bonne école. A ce jour, il n’a pas connu la moindre chute dans la dizaine de sorties effectuées dans l’arène.
Avec ces deux « phénomènes » aux prises, les amateurs devraient se régaler dimanche à Demba Diop.