Modou Lô respecte le jeûne. Mais ce n’est pas évident de l’associer aux entrainements auxquels il doit pourtant se plier pour les besoins de son combat contre Bombardier ce 25 juillet : «Moi, je n’ai pas d’heure fixe durant le ramadan. Je fais du footing avant la rupture, une façon de me dégourdir les jambes. Après le prière du crépuscule, je commence les choses sérieuses», a-t-il livré.
Selon l’enfant des Parcelles assainies, il est primordial de s’entrainer au vu de l’intérêt qu’il accorde à son combat. «Le plus important dans ce duel est de bien travailler. Le jeûne est obligatoire et je dois aussi m’entrainer. Donc il, il faut trouver la bonne formule pour allier les deux», soutient-il.
Du côté de Mbour, le roi des arènes est sur la même longueur d’onde. En effet, Bombardier est d’avis qu’il n’est pas facile de préparer un combat en plein ramadan : «Je ne sais pas pour les autres, mais à mon niveau, c’est très difficile de préparer un combat durant le mois de ramadan. Le plan de préparation change. Certains lutteurs s’entrainent la nuit, d’autres après la rupture du jeûne. Mais moi, je n’effectue qu’une ou deux séances par jour», a-t-il déclaré
Le lutteur de Mbour pense que c’est encore plus difficile pour lui : « c’est la première fois que je prépare un combat en plein mois de ramadan. D’habitude, mes combats se déroulent au moins de juin ou en début juillet. Mon vœu était de lutter le 7 juin comme initialement prévu. Comme ça, je pourrais mieux me consacrer à mon jeûne, mais ce n’est pas le cas, on va l’accepter sans broncher», a-t-il conclu.
Selon l’enfant des Parcelles assainies, il est primordial de s’entrainer au vu de l’intérêt qu’il accorde à son combat. «Le plus important dans ce duel est de bien travailler. Le jeûne est obligatoire et je dois aussi m’entrainer. Donc il, il faut trouver la bonne formule pour allier les deux», soutient-il.
Du côté de Mbour, le roi des arènes est sur la même longueur d’onde. En effet, Bombardier est d’avis qu’il n’est pas facile de préparer un combat en plein ramadan : «Je ne sais pas pour les autres, mais à mon niveau, c’est très difficile de préparer un combat durant le mois de ramadan. Le plan de préparation change. Certains lutteurs s’entrainent la nuit, d’autres après la rupture du jeûne. Mais moi, je n’effectue qu’une ou deux séances par jour», a-t-il déclaré
Le lutteur de Mbour pense que c’est encore plus difficile pour lui : « c’est la première fois que je prépare un combat en plein mois de ramadan. D’habitude, mes combats se déroulent au moins de juin ou en début juillet. Mon vœu était de lutter le 7 juin comme initialement prévu. Comme ça, je pourrais mieux me consacrer à mon jeûne, mais ce n’est pas le cas, on va l’accepter sans broncher», a-t-il conclu.